jeudi 27 février 2025

Des fauteurs de guerre à la tête de l' état Allemand.

 

Dimanche 23 février 2025, le sinistre résultat est tombé, ce sont les conservateurs de l' alliance CDU-CSU qui emportent les élections législatives avec 29% des voix. C 'est donc Friedrich Merz qui peut devenir le nouveau chancelier. Fauteur de guerre, il a reçu la bénédiction de l' OTAN, de Macron, de Zelensky, de Netanyahu,,,

Les médias allemands avaient bien préparé le terrain à cette élection , l’hebdomadaire Der Spiegel pour une «nouvelle vision», se prononce pour une «Europe qui accompagne enfin sa puissance économique gigantesque d’une force militaire crédible. Ceci afin de rester une force impérialiste dans le nouvel ordre mondial qui émerge. Selon le journaliste Markus Becker, «cela nécessiterait non seulement une armée européenne, mais probablement aussi une force nucléaire européenne».

Ce n' est certes pas une nouveauté se réarmement de l' Allemagne, sous la directive du chancelier Olaf Scholz la population allemande était conviée à passer à la caisse :

«Un meilleur équipement, un équipement moderne, plus de soldats: cela coûte beaucoup d’argent», avait déclaré Scholz en 2022. «À cette fin, le gouvernement fédéral devait créer un fonds spécial de l’armée allemande» et lui fournir «un montant unique de 100 milliards d’euros dans l’année budgétaire . Nous utiliserons ces fonds pour les investissements nécessaires et des projets d’armement».


Au programme de ce réarmement figurait la «prochaine génération d’avions de combat et de chars», l’«Eurodrone» et «l’acquisition du drone armé Heron»… Un remplacement moderne des jets Tornado obsolètes sera également effectué en temps utile». Tout un chapelet d'armes nouvelles est prévu «L’Eurofighter doit être équipé pour la guerre électronique. L’avion de combat F-35 sera considéré comme un avion de transport», a-t-il poursuivi. En ce qui concerne le nucléaire, il n' est plus fait état des USA pour pointer des têtes nucléaires contre les russes.

Comme le fait remarquer Becker, les Allemands doivent considérer leur pays comme une «puissance moyenne» qui «ne peut faire valoir ses intérêts géopolitiques qu’à travers l’UE et l’OTAN». Le gouvernement allemand devait donc «faire tout ce qui est en son pouvoir pour renforcer, diriger et développer ces institutions – pour en faire des instruments de pouvoir dans un monde où règne à nouveau et de plus en plus la loi du plus fort».C'est maintenant l'union sacrée qui se prépare dans l'UE, tous les partis ou presque veulent bouffer du russe.


Les verts toujours Kaki

Se souvenir comment les verts,sous la direction de Joschka Fischer ont approuvé les bombardements des « droits de l' homme » sur la Serbie1 et comment son parti s' est déchiré sur cette question. Aujourd'hui, la guerre en Ukraine démontre une fois de plus le chauvinisme guerrier des verts qualifiés dorénavant de vert Kaki.

Aujourd'hui,l’ancien ministre des Affaires étrangères Joschka Fischer écrit dans le quotidien économique Handelsblatt:

«À l’avenir, la paix et la liberté sur le continent européen devront avant tout reposer sur notre propre force et notre capacité de dissuasion. C’est pourquoi l’Europe doit devenir une puissance très rapidement et immédiatement, y compris et surtout sur le plan militaire, quel qu’en soit le prix.»Anton Hofreiter, député européen écologiste, appelle à la création d'un «fonds de défense de 500 milliards d'euros» pour soutenir l'Ukraine et «améliorer rapidement et efficacement la capacité de défense de l'UE».

Dès l’invasion russe en 2022, les Verts ont été parmi les plus engagés en faveur des livraisons d’armes à l’Ukraine. Ils ont fait front uni avec les fauteurs de guerre. Le principe du recours à la force militaire comme ultima ratio ( dernier recours) pour défendre les droits humains s'est imposé comme cache sexe .

Ne nous laissons pas abuser par les trémolos, du docteur Bernard Kouchner et son droit d'ingérence humanitaire à sens unique. Face au massacre des populations de la bande de Gaza il a fait quelques déclarations « humanitaires » sur une répression « disproportionnée » plus de 40 000 morts. Mais pas d'intervention militaire comme pour le dit « génocide » du Kosovo en janvier 1999 dans la ville de Racak2 40 morts.

Quant à l'argument du pays agresseur et de l' agressé, les internationalistes essayent toujours de voir quelle politique à fait en sorte que la Russie ou d' autres soient l' agresseur. Cette politique nous la connaissons bien, ce fut celle voulant réduire l' URSS à néant, à liquider ses alliés les uns après les autres. Quand elle est intervenue au Donbas, ce n' était que l' équivalent juridique du Kosovo elle n' a fait que venir au secours d'une population régulièrement bombardée par Kiev (14 000 morts).

Nous venons d'apprendre le coût d'une présence militaire de l'UE en Ukraine 100 000 euros par an par soldat.

G.Bad

La mélasse juridique bourgeoise internationale

CONTRE LA GUERRE ET LE CAPITAL

2-Cependant, Helena Ranta déclare plus tard avoir été soumise à des pressions par son propre gouvernement (Finlande) et par William Walker (diplomate américain) pour déclarer que Račak est effectivement un massacre de civils et un crime contre l'humanité. Ainsi, dans une biographie publiée en Finlande en 20087 , elle déclare :

« Walker voulait que je déclare que les Serbes étaient derrière [le massacre de Račak] afin que la guerre puisse commencer »

"... Il semblerait bien pourtant qu'il n'y ait jamais eu de massacre à Račak. Le 15 janvier, lorsqu'elles donnèrent l'assaut de cette place forte de l'Armée de libération du Kosovo ( UCK ) et d'autres du même genre, comme Belince, Malpoljce ou Petrovoikipédia, les forces serbes étaient accompagnées non seulement d'observateurs invités de l'OSCE, mais aussi d'une équipe de télévision qui filma le déroulement de l'action du début à la fin. Sources Wikipedia

Voir aussi ce texte du PRC-France

Quand un arrêt des combats est possible en Ukraine, l’Intersyndicale en France apporte son soutien aux bellicistes de l’UE

mercredi 26 février 2025

Gaza : Le nettoyage ethnique intégral approuvé par Trump

 

Publié le 1 Février 2025 par Pantopolis, 31 janvier & 5 févier 2025

AFP. Le retour des déplacés dans le nord de Gaza

Gaza : nettoyage ethnique intégral

La "solution" de Trump et Netanyahou

Le 25 janvier 2025, Donald Trump (soutenu par Musk, qui a fait allégeance aux néonazis d’Alternative für Deutschland), encensé par l’ultradroite américano-israélienne, parle d’ « héberger » les Gazaouis en Égypte et en Jordanie : « Presque tout a été démoli, et des gens meurent là-bas. Je serais ravi si l’Égypte et accueillait des gens et si la Jordanie accueillait des gens. On parle d’environ un million et demi de personnes. Il suffit de tout nettoyer . »

L’ultradroite Bezalzel Smotrich, ministre capitaliste des finances de l’État d’Israël dirigé par Netanyahou, a joué sa propre partition, celle d’un « nettoyage » ethnique  « intégral » et « définitif », envisagé depuis fort longtemps par toute l’ultra-droite : « L’idée de les aider à trouver d’autres lieux où entamer une vie nouvelle et meilleure (sic) est tout simplement merveilleuse »[1].

Steve Witkoff, envoyé de Trump au Moyen-Orient, a suggéré que l’Indonésie devienne la « terre d’accueil temporaire » pour les déplacés de Gaza. Une proposition rejetée par Jakarta, après le rejet de ce plan d’expulsion par l’Égypte et la Jordanie.

Les gesticulations hystériques de Trump, dignes du César de carnaval que fut Mussolini, devraient être prises au sérieux – tout comme d’ailleurs les menaces de Poutine de détruire l’Ukraine et bien d’autres, pour reconstituer la défunte Union soviétique.

Le « plan indonésien » de Donald Trump rappelle un peu trop le Madagaskar Projekt (plan nazi de mai 1940) qui prévoyait la déportation vers Madagascar d’un million de Juifs par an pendant quatre ans, en les spoliant de tout afin d’en financer la « logistique ».

Tous ces plans « merveilleux » (sic) – dans la bouche de capitalistes ultras, comme Smotrich et  Trump – visent à réaliser une « solution finale » à tous les « problèmes ethniques » dérangeants pour les impérialismes les plus  prédateurs. Ils ne font qu’anticiper un réel génocide à grande échelle.

La rencontre toute récente à Washington entre Netanyahou et Donald Trump vient confirmer cette perspective du pire : un véritable carnage à très grande échelle. Trump a martelé qu’il souhaitait "vider le territoire palestinien de ses habitants", avant d’évoquer une «situation de propriété sur le long terme » des Etats-Unis (Le Monde du  6 février 2025).

Qu’en adviendra-t-il donc des Palestiniens dont  le sort pourrait être celui des «Arméniens chrétiens dans la Turquie ottomane des 19e et 20e siècles, puis celui des  Juifs dans la prétendue « Europe civilisée » des trente années infâmes (1915-1945) ?

Sans une réponse globale, celle des travailleurs contre le Capital, quelle que soit leur « race », leur « religion », leur « ethnie », le pire est à craindre : un système monstrueux, celui du capitalisme pourrissant, poursuivra sa marche inexorable vers le néant, celui de l’ère du thanatocène.

La liquidation du système capitaliste mondial, dans tous les pays, pour instaurer une société humaine, libre, sans classes et sans États prédateurs, reste la seule vraie solution.

Pantopolis, 31 janvier et 5 février 2025.

 


[1] « Gaza. - Déplacer les Palestiniens, un sinistre fantasme », article du Courrier international (25 janvier 2025), d’après le quotidien de centre-gauche Ha’Aretz [« Le Pays »], Tel-Aviv, janvier 2025.

Gaza: total ethnic cleansing.

The Trump's and Netanyahu's “solution

On January 25, 2025, Donald Trump (supported by Musk, who has pledged allegiance to the neo-Nazis of Alternative für Deutschland), praised by the American-Israeli ultra-right, spoke of “hosting” Gazans in Egypt and Jordan: “ Almost everything has been demolished, and people are dying there. I'd be delighted if Egypt took in people and Jordan took in people. We're talking about a million and a half people. All we need to do is clean it up.

The ultra-right Bezalzel Smotrich, capitalist finance minister of the Netanyahu-led State of Israel, played his own part, that of a “complete” and “definitive” ethnic “cleansing”, long envisaged by the entire ultra-right: “ The idea of helping them find other places to start a new and better life (sic) is just wonderful[1].

Steve Witkoff, Trump's envoy to the Middle East, suggested that Indonesia should become the “temporary home” for the displaced Gazans. This proposal was rejected by Jakarta, following the rejection of this expulsion plan by Egypt and Jordan.

Trump's hysterical gesticulations, worthy of the carnival Caesar that was Mussolini, should be taken seriously - as should Putin's threats to destroy Ukraine and many others, to reconstitute the defunct Soviet Union.

Donald Trump's “ Indonesian plan ‘ is a little too reminiscent of the Madagaskar Projekt (Nazi plan of May 1940), which foresaw the deportation to Madagascar of a million Jews a year for four years, robbing them of everything in order to finance the ’logistics”.

All these “marvelous” (sic) plans - in the mouths of ultra-capitalists like Smotrich and Trump - aim to achieve a “final solution” to all “ethnic problems” disturbing the most predatory imperialisms. They are merely anticipating real genocide on a massive scale.

The recent meeting in Washington between Netanyahu and Donald Trump confirms this prospect of the worst: real carnage on a massive scale. Trump hammered home his desire to “empty Palestinian territory of its inhabitants”, before evoking a “long-term ownership situation ” for the United States (Le Monde, February 6, 2025).

So what will become of the Palestinians, whose fate could be that of the Christian Armenians in Ottoman Turkey in the 19th and 20th centuries, then that of the Jews in the so-called ‘civilized Europe’ of the infamous thirty years (1915-1945)?

Without a global response, that of workers against Capital, whatever their “race”, their “religion”, their “ethnicity”, the worst is to be feared: a monstrous system, that of rotting capitalism, will continue its inexorable march towards nothingness, that of the era of the Thanatocene.

The liquidation of the global capitalist system, in all countries, to establish a humane, classless society free of predatory states, remains the only real solution.

Pantopolis, January 31 and February 5, 2025


[1] "Gaza. - Déplacer les Palestiniens, un sinistre fantasme", article in Courrier international (January 25, 2025), based on the center-left daily Ha'Aretz ["The Country"], Tel-Aviv, January 2025.



INFOBREF N°567-janvier -fevrier 2025

 



Il faut s’opposer à l’arrestation et la persécution de l’activiste anti-génocide Yves Engler par les autorités canadiennes

James Clayton 24 février 2025


L'écrivain et militant Yves Engler parle de son livre jetant la lumière sur l'impérialisme canadien en Afrique, « Canada in Africa : 300 years of aid and exploitation ». [Photo: Yves Engler/Facebook]

L'auteur et militant montréalais Yves Engler, éminent opposant au militarisme canadien et au génocide israélien à Gaza, a été arrêté et emprisonné dans le cadre de poursuites malveillantes et politiquement motivées, sur la base d'accusations forgées de toutes pièces de harcèlement et d'obstruction à la justice.

L'affaire contre Engler a été lancée par des éléments fascistes et sionistes, qui bénéficient du soutien total de l'État canadien : du gouvernement libéral soutenu par les syndicats et des gouvernements provinciaux de toutes tendances politiques à la police et aux forces de sécurité.

Le Parti de l'égalité socialiste dénonce sans équivoque les poursuites engagées contre Engler et exige l'abandon de toutes les charges retenues contre lui, qui sont forgées de toutes pièces et de nature vindicative. La campagne menée contre lui s'inscrit dans le cadre de la persécution par l'élite dirigeante canadienne des opposants à la guerre impérialiste et au génocide en cours contre les Palestiniens. Cette campagne comprend des arrestations de masse par la police, l'intimidation violente des manifestants et la diffamation des manifestants, traités d’« antisémites ».

Le mercredi 19 février, Engler a publié sur son site web qu'il avait été informé par la police de Montréal d'une plainte déposée contre lui par Dahlia Kurtz, une activiste sioniste de Toronto, avec l'aide du cabinet d'avocats Spiegel Sohmer et de l'un de ses directeurs, Neil Oberman, le candidat fédéral conservateur dans la circonscription de Mont-Royal. Oberman est tristement célèbre pour ses dénonciations des campements d'étudiants contre le génocide et du rapporteur spécial des Nations unies sur les territoires palestiniens, Francesca Albanese.

Engler est un journaliste et auteur radical qui a habilement fait la lumière sur certains des crimes de l'impérialisme canadien. Critique nationaliste canadien «de gauche » du partenariat militaro-stratégique d'Ottawa avec Washington, il a écrit sur les relations étroites de l'impérialisme canadien avec les fascistes ukrainiens, sur la dévastation de communautés en Amérique latine et en Afrique par les activités destructrices des compagnies minières canadiennes, et sur le rôle agressif du Canada au sein de l'OTAN.

Engler a expliqué que la plainte déposée contre lui portait sur le fait qu'il avait « décrit Kurtz comme une partisane du “génocide” et une “fasciste” sur Twitter ». Coupable. J'ai répondu à des dizaines de reprises aux messages racistes et violents anti-palestiniens de Kurtz sur X ».

Trump promet aux oligarques de Davos l’impôt sur les sociétés le plus bas «de tous les pays du monde»

Andre Damon
25 01 2025


Des participants écoutent un discours virtuel prononcé par le président américain Donald Trump, à la réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos, en Suisse, le jeudi 23 janvier 2025 [AP Photo/Markus Schreiber]

Le président américain est apparu jeudi lors d’un panel virtuel au Forum économique mondial, la réunion annuelle des banquiers et oligarques de la planète. Il y a associé les menaces de guerre commerciale aux promesses de réduction d’impôts pour les entreprises américaines, de démantèlement des protections de l’environnement et de coupes des dépenses sociales.

Ses promesses de faire de l'Amérique un paradis pour milliardaires s'accompagnaient de fanfaronnades et de menaces à l'encontre des alliés européens et nord-américains des États-Unis, dont il exige un tribut sous forme de tarifs douaniers et de dépenses militaires accrues.

Malgré leur caractère belliqueux et menaçant, les remarques de Trump ont été accueillies par de vifs applaudissements de la part du public debout, et il a été comblé de flatteries par le président de l'événement, Klaus Schwab, ainsi que par un groupe de panélistes comprenant des représentants des plus grandes banques et entreprises énergétiques mondiales.

C'est ainsi que le magazine allemand Spiegel décrit l'événement:

Trump, qui regardait la salle comme un empereur depuis l'immense écran vidéo, a accepté des félicitations serviles. Le spectacle ressemblait un peu à l'émission de casting pour start-up «Shark Tank», dans laquelle des propriétaires de petites entreprises présentent leurs idées commerciales à des investisseurs en leur serrant la main afin de lever des fonds. La seule différence est que les candidats n'étaient pas des petits entrepreneurs, mais des dirigeants d’affaires multimillionnaires.

Les banquiers, note le Spiegel, attendaient «évidemment avec impatience le nouveau président et son programme économique radical.»

« Mon administration a... lancé la plus grande campagne de déréglementation de l'histoire, dépassant même de loin les efforts records de mon dernier mandat», a déclaré Trump. Il a promis qu'il n'y aurait « pas de meilleur endroit sur terre» pour «construire des usines ou développer une entreprise» que les États-Unis.

Trump a déclaré que le taux d'imposition des sociétés aux États-Unis était actuellement de 21 %, «et maintenant nous allons le ramener de 21 à 15 %». Il a ajouté: «15 %, c'est le taux le plus bas possible. Et c'est de loin le taux le plus bas d'un grand pays ».

Il a également exigé une baisse des taux d'intérêt par la banque centrale américaine, la Réserve fédérale, ce qui alimenterait encore la bulle spéculative en cours dans l'économie américaine et mondiale. «J'exigerai que les taux d'intérêt baissent immédiatement. De même, ils devraient baisser partout dans le monde. Les taux d'intérêt devraient nous suivre», a déclaré Trump.

Après que Trump eut terminé, Schwab a loué le discours « puissant » de Trump, ajoutant: « Je pense que l'on pouvait entendre les applaudissements de Davos jusqu'à la Maison-Blanche. »

Ana Botín, présidente exécutive de Banco Santander, l'une des plus grandes banques européennes, a fait l'éloge de l'agenda de Trump, déclarant: «Nous accueillons très favorablement votre concentration sur la déréglementation et la réduction de la bureaucratie. Alors ma question est la suivante: quelles sont vos priorités à cet égard, et à quelle vitesse cela va-t-il se faire?»

Trump a répondu: « Nous allons agir très rapidement. Nous avons agi très rapidement. Nous avons fait ces trois derniers jours des choses que personne n'aurait cru possible de faire en des années.»

Steven Schwarzman, PDG de la société d'investissement américaine Blackstone Group, a déclaré: «Beaucoup d'hommes d'affaires européens ont exprimé une énorme frustration à l'égard du régime réglementaire de l'UE, et ils attribuent le ralentissement des taux de croissance ici à de nombreux facteurs, mais surtout à la réglementation, et vous avez adopté une approche complètement différente dans ce domaine».

Trump a fait écho aux plaintes de Schwarzman, exprimant une litanie de griefs concernant les réglementations environnementales et de santé et sécurité au travail, qu'il a exigé de démanteler, de même que les taux d'intérêt.

La promesse de Trump de réduire massivement les impôts des sociétés et de démanteler la réglementation aux États-Unis s'accompagnait de menaces intimidantes envers les alliés européens des États-Unis, qu'il a réprimandés comme s'ils étaient des vassaux qui n'avaient pas payé leur tribut.

«Je vais également demander à tous les pays de l'OTAN d'augmenter les dépenses de défense à 5% du PIB, ce qui aurait dû être fait il y a des années. Il n'était qu'à 2% et la plupart des pays n'ont pas payé », a déclaré Trump.

Son objectif était de réduire le déficit commercial des États-Unis avec l'Union européenne et le Canada, que les administrations précédentes avaient traités comme leurs plus proches alliés.

« Nous allons exiger le respect de la part des autres nations », a déclaré Trump, ajoutant : « Nous avons un énorme déficit avec le Canada. Nous n'aurons plus ça... Je dis que vous pouvez toujours devenir un État, et si vous êtes un État, nous n'aurons pas de déficit. »

Il y a un analphabétisme économique stupéfiant de la part de cet ignorant, dont la conception des affaires est à peu près celle de la mafia. Il conçoit un monde dans lequel les États-Unis ont un excédent commercial avec chaque grand pays, sans se soucier de savoir comment le commerce mondial pourrait se dérouler sur une telle base, tous les autres pays étant en déficit.

«Mon message à toutes les entreprises du monde est très simple » a dit Trump, « venez fabriquer vos produits en Amérique, et nous vous offrirons des impôts parmi les plus bas de tous les pays du monde. Nous les réduisons considérablement, même par rapport aux réductions d'impôts initiales de Trump. Mais si vous ne fabriquez pas votre produit en Amérique, ce qui est votre prérogative, alors très simplement, vous devrez payer des droits de douane.»

Trump s'est exprimé dans ses propos en tant que représentant de l'oligarchie financière parasitaire américaine, qui cherche à utiliser la puissance militaire et économique de l'impérialisme américain pour dominer le reste du monde. Cela a clairement plongé les puissances européennes dans une crise profonde. Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne, a déclaré au Forum économique mondial qu'il n'était «pas pessimiste» de dire que l'Europe était confrontée à une «crise existentielle».

Mais alors même que Trump prononçait ses tirades agressives, les banquiers européens salivaient devant sa vision de l'Amérique comme d’un pays où l'oligarchie n'est effectivement pas taxée et est libre d'empoisonner l'environnement et d'exploiter les travailleurs sans aucune forme de protection légale ni nationale. Pendant que Trump parlait, les banquiers européens réfléchissaient clairement à comment ils pouvaient importer dans leurs propres pays la dictature débridée de l'oligarchie qu'il est en train de créer.

(Article paru en anglais le 24 janvier 2025)

Voir aussi

https://spartacusbond.blogspot.com/2024/07/gbad-comment-le-forum-economique.html




PROTECTIONNISME OU MONDIALISATION?… On s’en fout le capitalisme a atteint son point de non-retour!

12 janvier 2025

ROBERT GIL



Actuellement, en ces périodes de crises,  l’on entend la résurgence d’un débat sur le protectionnisme et la mondialisation capitaliste. Tout ceci n’a rien de nouveau et n’est qu’une resucée d’un capitalisme national ouvert au monde mais avec régulation. Il s’agit en fait d’une méconnaissance totale de la situation de nos jours. La libre circulation des capitaux est une nécessité pour le capitalisme qui ne peut plus se rentabiliser sur le plan national et a absolument besoin de trouver de nouveaux marchés dans l’espace (mondialisation) et dans le temps.

Dire qu’il est bien que les pays du Sud s’industrialisent est complètement inepte. Car ces pays ne s’industrialisent pas comme ont pu le faire les pays dits développés, mais sont assujettis à la main mise de ces mêmes pays. En aucun cas vous n’aurez une industrialisation comme ce fut le cas pour les pays développés pour la simple raison que ces pays n’auront jamais les infrastructures nécessaires et ne pourront jamais auto-entretenir le capital dans leur pays. Un exemple frappant est celui de la Chine qui a été l’atelier du monde pendant des années ce qui lui a permis une croissance à 2 chiffres, mais qui n’a pu assurer une croissance depuis la dernière crise que grâce au crédit, à l’endettement et à la plus fabuleuse utilisation de béton jamais vu (même aux USA) sur terre. La Chine a consommé en 4, 5 ans largement plus de béton que les USA pendant tout le 20ème siècle. De plus, le pays n’arrive pas à auto entretenir un capitalisme interne.

La course à la productivité est une nécessité pour les capitalistes! C’est d’ailleurs pourquoi vous ne pourrez jamais dans ce système aller à l’encontre de cela. Il faut prendre en compte la productivité moyenne globale mondiale pour comprendre que l’on ne peut revenir à l’époque des 30 glorieuses et de rentabilité via la production de marchandises. La concurrence rend obligatoire les gains de productivité; or, ces gains ont tellement été énormes depuis 40 ans que le système ne peut plus compenser les innovations de progrès par la croissance et les innovations produits.

Il y a dévalorisation générale de la marchandise qui n’est valeur économique que par le travail humain vivant incorporé dans cette marchandise quelle que soit le type de marchandise. Or, le travail humain vivant est détruit par les gains de productivité liés au progrès de production via la microélectronique, la robotisation et l’automation. Vous avez besoin de plus de travail humain vivant pour compenser la perte de travail humain liée à la destruction de ce même travail par le capital fixe de plus en plus important.

C’est un leurre de faire croire que l’on résoudrait tout en revenant au keynésianisme d’antan. Cela n’est plus possible. Il faut bien comprendre cela. Le capitalisme a atteint un point de non-retour à cause de la productivité énorme et de la destruction du travail humain vivant en résultant. C’est pourquoi nous assistons à ce que d’aucun appelle le capitalisme sauvage qui n’est que la conséquence du fonctionnement interne de celui-ci. En effet, il faut au capitalisme de nouveaux débouchés, donc destruction des services publics, et transformation en marchandises de la plupart des aspects de notre vie.

Il faut aussi remarquer que l’industrie des services en aucun cas ne palliera ce phénomène car cette industrie ne crée pas de valeur car elle ne crée pas de marchandises ou alors très peu (voir la bulle internet des années 2000).

Pour pallier à tous ces problèmes, la réponse a été il y a 40 ans de déréguler et de privatiser. Cela a créé une industrie financière hypertrophiée qui n’est pas la cause de la crise du système, mais tout simplement le symptôme de sa déconfiture. S’il n’y avait pas eu cette politique, il y aurait eu effondrement du système keynésien. Je rappelle que Keynes était un économiste libéral qui ne voyait en l’Etat que la bouée de secours pour relancer la machine et repartir sur les marchés. Il y a donc mal donne à faire accroire aux gens que revenir à ce qui se faisait il y a 30 ans réglera les contradictions internes du capitalisme. Il faut cependant que ce ne soit pas les peuples qui pâtissent de cela et il vaut mieux une relance keynésienne que l’austérité.

Se soucier de l’environnement dans un tel système est inepte. L’écologie est définitivement incompatible avec l’économie quelle qu’elle soit. C’est en 2008, lors de la récession mondiale qu’il a été enregistré le moins de dégagement de C02. D’autre part, l’économie est basée sur le pétrole coûtant peu cher. Nous ne pourrons pas supporter la hausse de ce dernier qui se fera inéluctablement. Ce ne sont pas les énergies dites renouvelables qui nous permettront de remplacer l’or noir.

Autre chose, parler de taxe TOBIN est complètement stupide à part vouloir faire éclater les bulles encore plus rapidement. TOBIN était un économiste libéral et cela aurait été fait depuis longtemps si ce n’était pas infaisable ou alors vraiment à la marge, c’est à dire un pourcentage extrêmement ridicule.

Nous sommes dans un système absurde où le but est de valoriser l’argent alors que nous avons tous les moyens productifs pour assurer à chaque être humain les biens et services nécessaires.

CYRIL, Voir ses articles

Elon Musk et l’extrême droite allemande

Le capitaliste le plus riche du monde ne se contente pas de faire élire Donald Trump. Dans une tribune publiée dans un journal allemand, Musk a apporté son soutien au parti d'extrême droite allemande AfD.

Nathaniel Flakin 



7 janvier 2025







Crédit photo : The Intercept

En 1922, le plus important soutien du jeune parti nazi était déjà un capitaliste étasunien. Comme l’a rapporté le New York Times, « le bureau privé d’Hitler est décoré d’un grand portrait d’Henry Ford », et ce futur dictateur possédait de nombreuses copies d’un traité antisémite de Ford. Aujourd’hui, on se souvient mieux de Ford comme d’un magnat de l’industrie automobile, mais il était également un des promoteurs de l’antisémitisme dans le monde entier.

Presque exactement un siècle plus tard, c’est à nouveau un constructeur automobile d’extrême-droite qui booste un parti d’extrême droite allemand.

Elon Musk avait déjà fait connaître son point de vue sur la politique allemande : « Seule l’AfD peut sauver l’Allemagne », avait-il posté sur X le 20 décembre dernier, en partageant un message d’un YouTubeur d’extrême droite. Huit jours plus tard, il surenchérissait dans un article d’opinion pour le journal allemand Die Welt. Musk y décrit le parti d’extrême droite Alternative für Deutschland (AfD) comme « la dernière étincelle d’espoir de l’Allemagne ». Et le multimilliardaire d’ajouter : « La description de l’AfD comme un parti d’extrême droite est clairement fausse puisque la chef du parti, Alice Weidel, a une partenaire du même sexe sri-lankaise. Est-ce que cela ressemble à Hitler pour vous ? ».

On pourrait opposer à cela qu’Hitler lui-même avait un collaborateur proche, Ernst Röhm, qui cachait à peine son homosexualité. Cela n’a pas empêché les nazis d’assassiner des dizaines de milliers de personnes queers.

Ingérence électorale

Bien qu’il ne s’agisse pas d’un parti fasciste au sens marxiste du terme, l’AfD entretient des liens étroits avec des groupes nazis violents. L’un de ses dirigeants, Björn Höcke, a d’ailleurs été condamné pour avoir proféré des slogans nazis.

L’AfD mène actuellement une campagne pour l’expulsion de millions de personnes, ce qu’elle appelle par euphémisme la « remigration ». Quand ces plans ont été rendus publics, des millions de personnes sont descendus dans la rue, choquées et horrifiées. Pourtant, les principaux partis allemands se sont adaptés aux principales revendications de l’AfD, le chancelier social-démocrate Olaf Scholz allant jusqu’à déclarer que « nous devons expulser plus souvent et plus vite ».

L’article de Musk a suscité l’indignation à travers tout le spectre politique. Le candidat conservateur Friedrich Merz s’est opposé à « l’ingérence dans la campagne électorale d’un pays ami ». Personne, cependant, ne conteste le soutien de Musk aux déportations massives prônées par l’extrême-droite, qui sont devenues consensuelles au sein de l’establishment politique allemand.

Alors que le gouvernement allemand continue de taxer d’antisémitisme toute expression de solidarité avec le peuple palestinien, les auto-proclamés champions de la lutte contre l’antisémitisme sont restés complètement silencieux à propos des sorties antisémites répétées de Musk, décrivant les juifs comme des êtres malveillants qui contrôleraient le monde. Le maire conservateur de Berlin, Kai Wegner, par exemple, qui taxe les Israéliens de gauche d’antisémitisme, s’est réjoui d’accueillir un entrepreneur qui a dépensé des milliards de dollars pour s’assurer que les agitateurs fascistes disposent d’une plateforme numérique disponible. Ces champions de la lutte contre l’antisémitisme sont tout aussi silencieux sur les commémorations publiques en l’honneur de Ford.

Mise en œuvre du programme de l’AfD

L’article de Musk a été publié en même temps qu’une réponse de Jan Philipp Burgard, le nouveau rédacteur en chef de Die Welt. Il n’a exprimé qu’un désaccord limité : « Le constat de Musk est juste, mais son choix de soutenir l’AfD est une erreur fatale ».

Ces propos sont représentatifs de la position de tous les politiciens bourgeois allemands depuis un an. Tout en s’alignant avec l’AfD pour dire que le principal problème de l’Allemagne est l’immigration illégale, ils s’opposent à l’idée que le parti d’extrême droite prenne lui-même en charge les expulsions, dénonçant la violation par ce dernier d’idéaux abstraits tels que la « liberté » ou la « démocratie ».

C’est notamment le cas de l’ancien ministre des Finances du parti hyper-néolibéral FDP, Christian Lindner, qui a répondu au premier tweet de Musk en déclarant qu’il soutenait ses idées économiques et celles du président argentin d’extrême droite Javier Milei. Lindner concède cependant à l’AfD que « le contrôle de l’immigration est crucial pour l’Allemagne », mais dénonce l’opposition du parti à « la liberté et aux affaires », quoi que cela puisse signifier.

Malgré cette claire sympathie envers l’AfD, la bourgeoisie allemande hésite encore à l’intégrer à un gouvernement, et ce pour deux raisons. La première est le risque de mobilisations spontanées : que se passerait-il si des millions de personnes horrifiées par le racisme de l’AfD décidaient de prendre des mesures plus radicales qu’une simple manifestation pacifique ? La seconde est que l’AfD entretient de nombreux liens diplomatiques avec la Russie, ce qui remet en question l’orientation « transatlantique » de l’impérialisme allemand, et donc sa subordination à Washington.

La société Axel Springer

Die Welt a fait l’objet de nombreuses critiques pour avoir offert un tel soutien à l’extrême droite, ce qui est tabou dans la société allemande d’après-guerre. Dans une réminiscence du chaos survenu au Washington Post et au Los Angeles Times après que leurs propriétaires milliardaires ont retiré leur soutien à Kamala Harris, au moins un rédacteur en chef de Die Welt a démissionné pour protester contre ce soutien à Elon Musk.

Ce n’est pourtant pas une coïncidence si Die Welt a publié cet article. Bien qu’il soit parfois présenté comme un journal plutôt « libéral », le rédacteur en chef sortant, Ulf Poschardt, a été l’une des figures les plus importantes de la bataille culturelle menée par la droite en Allemagne. Depuis 1952, Die Welt, qui appartient à la société Axel Springer, sert de cache-misère à un éditeur qui fait fortune avec les tabloïds d’extrême droite.

Les feuilles de chou de Springer, comme Bild, n’ont cessé de s’attaquer aux militants pro-palestiniens, et pour cause, la société porte le nom d’un militant acharné d’extrême droite. Bien qu’il n’ait pas été directement membre du parti nazi, Axel Springer a été actif dans le Corps de transport national-socialiste (NSKK), affilié au parti. Sous le fascisme, il a également dirigé un journal sous la direction du ministère de la Propagande de Joseph Goebbels.

Après la guerre, Springer a épousé la fille de Werner Lorenz, un général de la Waffen-SS et l’un des principaux responsables nazis de l’épuration ethnique en Europe de l’Est. Avec son beau-père le criminel de guerre nazi, Springer a pu alors se consacrer à son soutien fanatique à Israël : il n’avait rien contre les Juifs… pourvu qu’ils soient loin de l’Allemagne.

Comme le rapporte James Jackson dans le Telegraph, Matthias Döpfner, l’actuel PDG milliardaire de Springer, a joué un rôle clé dans le rapide virage de Musk vers la droite.

Elon Musk et Henry Ford

Après avoir dépensé des centaines de millions de dollars pour faire élire Trump, Musk n’a pas l’intention de s’arrêter d’aider l’extrême droite à prendre le pouvoir dans le monde entier. Les milliardaires ont tendance à avoir des opinions d’extrême droite, et tout au long de l’histoire, les ultra-riches ont soutenu les régimes fascistes afin de protéger le système contre les contestations venant du mouvement ouvrier.

Pour lutter contre l’extrême droite et ses soutiens capitalistes, il ne suffit pas de « défendre la démocratie » en soutenant un grand parti bourgeois. Ces mêmes partis s’en prennent aux droits démocratiques et mettent déjà en œuvre une partie importante du programme de l’AfD, dans une version édulcorée.

C’est pour cette raison que des socialistes révolutionnaires se présentent aux élections allemandes du 23 février pour diffuser ce message : pour lutter contre l’extrême droite, il faut lutter contre le grand capital ! Nous devons exproprier les milliardaires comme Ford, Musk et tous les autres.




dimanche 23 février 2025

Tanto Macron como Christine Lagarde (BCE), querem a mundialização dos impostos

 

 



 13 de Outubro de 2024  Robert Bibeau 


O chefe de Estado defendeu ainda a "internacionalização" dos impostos durante a cimeira sobre o sistema financeiro mundial que está a organizar em Paris.

«Vocês estão aqui num país na vanguarda da criatividade em termos de impostos": Emmanuel Macron comentou ironicamente esta quinta-feira a elevada carga fiscal, defendendo a "internacionalização" (mundialização) dos impostos. Durante uma cimeira sobre o sistema financeiro mundial que está a organizar em Paris, o Presidente francês reagiu aos apelos a novos impostos internacionais para financiar a luta contra o aquecimento mundial e a pobreza (sic).

Em França, "somos o número dois do mundo em termos de níveis" de taxas obrigatórias, disse. "E, no entanto, temos um imposto sobre as companhias aéreas, temos um imposto sobre as transacções financeiras. Implementámos ambos", acrescentou, lamentando que o resto do mundo não tenha seguido o exemplo, apesar de anos de debate a favor destes impostos.

«Às vezes sentimo-nos um pouco sozinhos", continuou Macron. "Sou um grande defensor da internacionalização destes impostos, porque isso reduziria os meus problemas", acrescentou o chefe de Estado, que assumiu o compromisso político de não aumentar e até reduzir os impostos franceses, e ganhou a alcunha de "presidente dos ricos" por ter abolido parcialmente, durante o seu primeiro mandato, o imposto de solidariedade sobre a riqueza.

TEXTOS disponíveis em: SPARTACUS COMMUNISM ADVICE: G,Bad-Christine Lagarde está a fazer campanha por uma política orçamental mundial, para enfrentar a próxima crise. (spartacusbond.blogspot.com) e outros textos de Gérard Bad aqui: Resultados da pesquisa por "Bad" – les 7 du quebec


Por Gérard Bad.

Christine Lagarde está a fazer campanha por uma política orçamental mundial, para enfrentar a próxima crise económica mundial. Sobre o conselho do comunismo de Spartacus: G,Bad-Christine Lagarde está a fazr campanha por uma política fiscal mundial, para enfrentar a próxima crise. (spartacusbond.blogspot.com).


O discurso proferido em 20 de Setembro de 2024 em Washington1 por Christine Lagarde, presidente do Banco Central Europeu e antiga directora-geral do Fundo Monetário Internacional (FMI), é reveladora da preocupação da comunidade empresarial.

Se antes Christine Lagarde pensava que a crise tinha ficado para trás, desta vez inaugura uma nova explicação traçando paralelos entre as "décadas de 1920 e 2020".

O que o discurso de Lagarde indica nas suas comparações dos tempos é o papel central desempenhado pelas descobertas tecnológicas, descobertas que se espera virem o mundo de pernas para o ar regularmente. A famosa "destruição criativa" de Schumpeter.

"A segunda grande transformação durante este período foram os rápidos avanços tecnológicos. Se a fragmentação tivesse sido um retrocesso, a tecnologia tinha indubitavelmente feito progressos. Mas estes avanços desencadearam uma série de mudanças na economia e nos mercados financeiros, que colocaram novos desafios aos bancos centrais.

A inovação acelerou rapidamente nesta época, em grande parte impulsionada pelos avanços da guerra. Estes desenvolvimentos levaram à introdução de novas máquinas a uma escala muito maior do que antes. Os avanços mais evidentes foram os trazidos pelo motor de combustão interna – linha de montagem pioneira de Henry Ford – e pela rede e o motor eléctricos.

O boom tecnológico levou a rápidos ganhos de produtividade. Na Grã-Bretanha, por exemplo, era necessário o equivalente a cinquenta e cinco semanas de trabalho para um funcionário produzir um carro nas fábricas da Austin Motor Company em 1922, em comparação com apenas dez em 1927. Para a Europa como um todo, a taxa média de crescimento da produtividade subiu para mais de 2% ao ano entre 1913 e 1929, em comparação com cerca de 1,5% ao ano entre 1890 e 1913. (Discurso de Christine Lagarde, Presidente do BCE, por ocasião da Conferência Michel Camdessus sobre a Actividade Bancária Central, organizada pelo FMI em 2024

Aqui notamos que a guerra salva vidas, e permite ganhos de produtividade, ou seja, uma maior difusão do maquinário para a extracção da mais-valia relativa. Macron obviamente concorda com esse absurdo de guerra salvadora:

Durante a sua visita à Eurenco, em Bergerac, a 11 de Abril de 2024, Macron afirmou, satisfeito, que a economia de guerra criava riqueza e emprego. Acredita, portanto, que a morte e a destruição são eminentemente lucrativas. Afinal, é esse o objectivo final de qualquer bom gestor de negócios capitalista! Quanto aos escravos assalariados, são vistos apenas como carne para exploração e carne para canhão, e é isso que são, diga-se! Mas trata-se apenas de um esforço muito modesto, que tem necessariamente de ser desenvolvido através e pela política de terror e intimidação destinada a convencer as classes subalternas da validade de tal política.

A França encomendou 20 mil milhões de euros de equipamento militar para 2023, um terço mais do que nos anos anteriores, e as encomendas de exportação estão a acumular-se. Em particular, Paris espera a entrega de 1500 mísseis anti-tanque MMP, 55 000 obuses e 300 mísseis anti-aéreos Mistral, 500 Mica-NG e 220 Aster.»2 (Le Figaro)

Política fiscal a nível da OCDE.

O discurso da senhora deputada Lagarde centrar-se-á na política fiscal a nível mundial, que não é neutra e devemos esperar um maior contributo das chamadas classes médias. A este nível, a França, altamente endividada, será o primeiro país da UE a promover esta taxa à escala mundial, aliás ao nível da OCDE.


"Do outro lado do Atlântico, num discurso na Irlanda, a primeira directora-geral adjunta do FMI, Gita Gopinath, alertou para o agravamento da crise nas finanças públicas à medida que as dívidas se acumulam. Gopinath disse que o objectivo da sua conferência era promover uma "mudança estratégica na política tributária mundial" para garantir que os governos tenham os recursos para "combater a próxima crise". (excerto do discurso de Lagarde).

Não é a primeira vez que os EUA intervêm para impor um super imposto, enquanto o GAFA continua a lucrar com os povos da Europa.

Em 2021, Joe Biden apresentou o seu programa fiscal para financiar a transição energética e as infraestruturas, no valor de mais de 2 000 mil milhões de dólares.

Para o financiar:

"Em particular, prevê um aumento da taxa de imposto sobre as sociedades de 21% para 28%. Se os Estados Unidos aumentarem o seu imposto federal para 28%, ao qual deve ser adicionada uma taxa específica para cada um dos estados, o imposto sobre as empresas americanas ascenderia a uma média de 32,4%. Os Estados Unidos provavelmente tornar-se-ão, portanto, um dos países com a maior taxa de SI facial. É possível que, devido a um efeito de oscilação do pêndulo, alguns grupos prefiram instalar-se na Europa" (Frédéric Teper, sócio da Arsene, uma sociedade de advogados especializada em tributação internacional das sociedades).

A solução é, portanto, aumentar a taxa de imposto na Europa, este é todo o discurso actual do novo primeiro-ministro Michel Barnier na França que afirma "fazer os ricos pagarem":

O "esforço" das grandes empresas e dos mais ricos será "direccionado e limitado no tempo"

Toda esta conversa consiste em esconder o facto de que os Estados Unidos e os países europeus querem chegar a um acordo sobre uma Taxa mínima do imposto sobre as sociedades 3, criar condições de concorrência mais equitativas a nível internacional e resolver os problemas colocados pelos paraísos fiscais.

Os Estados Unidos pretendem uma taxa mínima de imposto mundial sobre os lucros de 21%, quase o dobro dos 12,5% previstos pela OCDE (Organização para a Cooperação e Desenvolvimento Económico). Mas a última notícia é que a OCDE acaba de desistir e aceita tributar o património:

« a OCDE sugere que os governos adoptem medidas para eliminar gastos fiscais distorcivos e aumentar as receitas de impostos indirectos, impostos ambientais e impostos sobre a riqueza em muitos países." A OCDE apela a um aumento da tributação sobre a riqueza.

Ver também;Os remédios do Dr. Joe Biden: o renascimento do consumo e a revolução fiscal.

Quem paga as suas dívidas fica mais rico

Este é um versículo bíblico que não diz respeito aos marxistas, sobretudo quando temos de pagar as dívidas dos capitalistas.

A dívida pública, ou seja, a alienação do Estado, seja ele despótico, constitucional ou republicano, é a marca da era capitalista. A única parte da chamada riqueza nacional que entra realmente na posse colectiva dos povos modernos é a sua dívida pública”. (K. Marx T 1 p 721 de O Capital, ed. Moscovo)

Em última análise, os cidadãos têm de servir de garantia para todos os tipos de credores, tanto mais que a própria dívida se tornou um produto financeiro através da monetização da dívida pública.

A dívida é vendida como rebuçados nas feiras. O resultado é, desde há alguns anos, uma desvalorização permanente do valor do trabalho e uma sobre-acumulação de capital fictício.

Para além de planear a tributação das empresas e do património, os diferentes impostos e taxas afectam os cidadãos no sentido mais lato. As despesas sociais já estão na mira do Governo, com o adiamento da indexação das pensões à inflação de 1 de Janeiro para 1 de Julho de 2025 e a limitação das despesas de saúde a um máximo de 2,8% em 2025.

As autarquias locais terão de suavizar as suas despesas, depois de terem sido acusadas pelo Governo cessante de contribuírem para a derrapagem do défice público em 2024. 100 000 empregos a menos.

A eco-superação, que visa os transportes poluentes, nomeadamente os veículos de combustão interna, e o sector aéreo francês, que espera ser tributado em mil milhões de euros suplementares. Os ministérios serão chamados a fazer economias suplementares de 5 mil milhões de euros.

O facto de as dotações não terem sido adaptadas à inflação provocará uma redução de cerca de 15 mil milhões de euros nos 1,5 mil milhões de euros destinados à transição ecológica.

O total deverá atingir 60 mil milhões de euros.

VER TAMBÉM

Crise financeira – Todos querem salvar o homem afogado, obrigando-o a beber água.


Este artigo foi traduzido para Língua Portuguesa por Luis Júdice

G.Bad-Cómo el Foro Económico Mundial pretende abordar la cuestión social

 


Comment le Forum économique mondial entend traiter la question sociale 

TRADUCTION ORDINATEUR

orden moral de schwap

El curso catastrófico del capital anuncia su inevitable fin de reinado. (3ra parte)


resumen :

La llamada "cuarta revolución industrial"

 El Foro quiere frenar toda protesta social 

El sistema de seguridad totalitario en marcha ¿

Quién pretende gestionar el nuevo orden moral? 

Hacia un empobrecimiento personal basado en la ideología ecológica 

La pospandemia ya hace balance de su economía


El Gran Reinicio en línea en francés http://reparti.free.fr/schwab2020fr.pdf La llamada “cuarta revolución industrial”.

Según Klaus Schwab, la cuarta revolución industrial significa que el mundo avanza hacia “una civilización verdaderamente global”. Una civilización en la que Satya Nadella, director de Microsoft que trabaja en colaboración con Amazon, Google, Facebook e IBM para el desarrollo de la IA, cree que existe un peligro de distopía.2 Aunque consideramos que hasta ahora sólo hay una gran revolución industrial, aceptamos las subdivisiones que se hacen dentro de ella como la segunda3, luego la tercera y ahora la cuarta revolución. Si los tres primeros nos han llevado progresivamente a la sociedad de consumo gracias sobre todo al fordismo y al taylorismo, al tiempo que prosiguieron la extensión de los brazos humanos por las máquinas4. El siglo III comenzará hacia 1950, cuando se iniciará una ampliación del cerebro humano mediante pequeñas prótesis que van desde la máquina calculadora hasta los primeros ordenadores. Ordenadores que corrigen nuestras faltas de ortografía, hacen traducciones de lenguas extranjeras...

La cuarta revolución, la de la inteligencia artificial (IA), destacada por K.S es de otro tipo y se presenta como el resultado final de las posibilidades de extracción de plusvalía (absoluta y relativa) es una extensión del cerebro. Para comprender plenamente el significado contrarrevolucionario en un sentido humano de esta cuarta revolución ya en marcha, debemos referirnos al artículo del WEF "La Cuarta Revolución Industrial: Qué implica y cómo abordarla" del 27 de octubre de 2017. Tiene al menos el mérito de replantear el contenido de estas "revoluciones" como lo hacemos nosotros.

Durante la Primera Revolución Industrial, el agua y el vapor hicieron posible mecanizar la producción. La Segunda Revolución Industrial aprovechó la energía eléctrica para crear producción en masa. La Tercera Revolución Industrial se basó en la electrónica y la tecnología de la información para automatizar la producción. De ahí surgió la Cuarta Revolución Industrial, la revolución digital, nacida a mediados del siglo pasado. Se caracteriza por una fusión de tecnologías que difuminan los límites entre las esferas física, digital y biológica. » «La escala y la importancia de estos cambios anuncian la transformación de sistemas enteros de producción, gestión y gobernanza. » “A medida que la automatización reemplaza la mano de obra en toda la economía, el reemplazo total de trabajadores por máquinas podría ampliar la brecha entre los rendimientos del capital y el trabajo. Por otra parte, si la tecnología reemplaza a los trabajadores, es posible que el número de empleos seguros y gratificantes aumente en general. »

Dado que la cuarta revolución se presenta como una forma de imponer el transhumanismo, el individuo aumentado, injertado por todos lados con identificadores y códigos (chips electrónicos, etc.), es para aquellos que se proclaman comunistas a nivel humano una contrarrevolución. Lo cual tendremos que demostrar más adelante. Vídeo de pulgas en Suecia https://youtu.be/7m0QgmP0cBU

Para Klaus Schwab, los cambios que acompañarán a las nuevas tecnologías serán globales y alterarán “la forma en que producimos y transportamos bienes y servicios”. La revolución alterará la forma en que “nos comunicamos, colaboramos y experimentamos el mundo que nos rodea”. El cambio será tan profundo que los avances en neurotecnología y biotecnología “nos están obligando a cuestionar qué significa ser humano”. No somos más que la colaboración de una élite tecnocrática que quiere gobernar y controlar el mundo con la ayuda moral de líderes religiosos. En el terreno económico, el Gran Reinicio admira el modelo distópico chino, es decir, el capitalismo de Estado mezclado con liberalismo. Un modelo que admira el profesor Schwab, que por ello recibió la "medalla de la amistad" del presidente Xi Jinping en 2018. La economía de mercado socialista china se acerca mucho a lo que Schwab quiere hacer en Europa bajo el nombre de "economía social de mercado", un ordoliberalismo renovado.

Algunos incluso han preguntado: "Los términos "cuarta revolución industrial" son como el de "tercera revolución industrial" (Jérémy Rifkin) dejan a uno escéptico, en vista de la desindustrialización histórica de las economías occidentales. Fuera del ámbito de las Big Tech (GAFA), los grandes ganadores de la crisis, y en general de las industrias de lujo destinadas a estos ganadores, el escenario de decrecimiento/baja demanda energética se impondría así al resto de la población, confinada o no. »

El Foro quiere frenar toda protesta social

Detrás de los grandes discursos culpabilizadores del partido de Macron se esconde una supuesta capacidad de empleo insatisfecha debido a la generosidad de las ayudas sociales (paro, prestaciones sociales, etc.).

Hay que cuestionar el bienestar (como sugirió Malthus en su época) porque es el principal obstáculo para el empleo. Lo que significa que los gobiernos pretenden dejar el superávit en el desenlace total, siendo la renta universal (base ciudadana) nada más que humo y espejos, una compilación de la Renta Activa Solidaria (RSA) y el Bono de Actividad (PA) y el impuesto a la renta. El ascenso de las clases peligrosas no es más que la consecuencia de un empobrecimiento creciente que inevitablemente desestabilizará la vida social, como está ocurriendo actualmente en Guadalupe. Además, en los últimos años se ha producido un nuevo aumento de la migración en las fronteras de la UE. También aquí las víctimas sobrantes de las guerras, los desastres naturales y el subempleo buscan refugio en la fortaleza europea. Lo que hace que el Gran Reinicio diga que:


“Uno de los peligros más profundos de la era pospandémica es el malestar social. En casos extremos, podría conducir a la desintegración social y al colapso político”. (El Gran Reinicio - 1.3.2. Malestar social)

Oponiéndose a la seguridad y al totalitarismo actuales

El foro señala que la gente se está rebelando, afectando incluso a los "ricos del mundo", los chalecos amarillos y los que votaron por el Brexit...

El Foro quiere que los gobiernos tengan un mayor control sobre el malestar en la sociedad civil, y para lograrlo hay que utilizar toda la gama de nuevas tecnologías. Según el Gran Reinicio: “Por lo tanto, el rastreo y seguimiento de contactos son elementos esenciales de nuestra respuesta de salud pública al COVID-19. »Reconocimiento facial, cámaras en todas partes, incluso en los vehículos.

A medida que la crisis del coronavirus disminuya y la gente comience a volver al trabajo, las empresas avanzarán hacia una mayor vigilancia” (Gran Reinicio, 1.6.2. Rastreo de contactos, seguimiento de contactos y vigilancia) Se esgrimirá el argumento de la seguridad para colocar cámaras en los lugares de trabajo con el pretexto de querer controlar el distanciamiento social. Muchos empiezan a darse cuenta de que el pase sanitario es la antesala de múltiples controles encaminados a instaurar una sociedad totalitaria distópica de vigilancia y control total de los individuos, incluyendo la introducción de innumerables sensores, entre ellos chips RFID. Ya está operativo como pase multiusos para el “hombre aumentado”. Según un estudio de Acumen Research And Consulting, se espera que el mercado de chips RFID en este sector alcance los 6,4 millones de dólares.

Hemos demostrado que las nuevas tecnologías son depredadoras del empleo, que a partir de ahora Internet se presenta como una prótesis a todos los niveles de la humanidad. Que el trabajo intelectual ya compite con la inteligencia artificial (IA), que el rápido desarrollo de su uso lleva a hacer que el consumidor trabaje gratis. (ver el libro de Marie Anne Dujarier La obra del consumidor ed. La découverte). El Gran Reinicio es plenamente consciente de las consecuencias del NTCI sobre el empleo.

“De hecho, las tecnologías de automatización son particularmente adecuadas para un mundo en el que los humanos no pueden estar demasiado cerca unos de otros o están dispuestos a reducir sus interacciones. Nuestro temor persistente y quizás duradero de ser infectados por un virus (COVID-19 u otro) acelerará por lo tanto la marcha implacable de la automatización, particularmente en las áreas más sensibles a ella. En 2016, dos académicos de la Universidad de Oxford concluyeron que hasta el 86% de los empleos en restaurantes, el 75% de los empleos en el comercio minorista y el 59% de los empleos en el entretenimiento podrían automatizarse para 2035.[123] Estas tres industrias se encuentran entre las más afectadas por la pandemia y es en estos donde la automatización, por razones de higiene y limpieza, será una necesidad que, a su vez, acelerará aún más la transición hacia más tecnología y más digital. »(El Gran Reinicio p.129)

Desde la pandemia, el desarrollo del teletrabajo ha destrozado comunidades laborales ya muy afectadas por la multiplicación de contagios.ratas precarias (contratos de cero horas, trabajo bajo demanda). El contrato de duración determinada ha sustituido en gran medida al contrato indefinido y desde entonces la condición de autónomos de los repartidores sujetos al régimen de start-up o uberización ha revelado un nivel de desarrollo del trabajo precario sin precedentes. Alemania, por ejemplo, se ha convertido en una sociedad de pleno empleo precario, con sus miniempleos de 450 euros al mes, sin contribuciones a la seguridad social.

Vídeo: https://www.arte.tv/fr/videos/075833-000-A/travail-a-la-demande/

Empleados y contratistas de la “nueva economía”.

Las nuevas tecnologías y su impacto en la lucha de clases

5-La banda sonora del siglo XXI y el asalariado

Quién pretende gestionar el nuevo orden moral de Klaus Schwab? orden moral de schwap

La fe tiene un papel crucial que desempeñar a la hora de proporcionar un marco moral para la Cuarta Revolución Industrial”

En la página web de la FEM podemos leer:

Los líderes religiosos están en una posición particularmente positiva para generar cambios. El 84% de la población mundial se identifica con algún grupo religioso. La fe desempeña un papel crucial a la hora de proporcionar un marco moral para la Cuarta Revolución Industrial y abordar los problemas a nivel local. Creo firmemente que la fe y los líderes religiosos representan un recurso poderoso y en gran parte desaprovechado para abordar cuestiones de seguridad comunitaria en 2020 y más allá. Desde los albores de los tiempos, la fe ha proporcionado una base moral tangible para resolver conflictos, siendo al mismo tiempo un instrumento de paz, esperanza y consuelo. La fe sigue siendo relevante para el progreso humano y comunitario al guiar las interacciones sociales y económicas, a pesar del rápido progreso y desarrollo de nuestra sociedad. Los desafíos que enfrentan las comunidades –en particular los delitos que afectan la seguridad comunitaria– obstaculizan su capacidad de prosperar. Es vital colaborar con los líderes religiosos para crear un marco moral para la Cuarta Revolución Industrial. Debemos esforzarnos por encontrar maneras de movilizar y educar a los líderes religiosos para empoderarlos para que desempeñen un papel activo en el desarrollo y la preservación de nuestra comunidad global. »6


No es sorprendente ver un resurgimiento de las religiones en los medios de comunicación y de la letanía según la cual la “espiritualidad” está escrita en el genoma humano. Los líderes religiosos no son todos unos horribles oscurantistas y están bien integrados en las finanzas globales. Hacia un empobrecimiento personal basado en la ideología ecológica A partir del momento en que los dirigentes del capitalismo triunfante piensen que el 80% de la población mundial ya no es necesaria para hacer funcionar la máquina burguesa, tendrán que gestionar la falta de plusvalía que seguirá para salvar las ganancias del planeta.

El argumento del calentamiento global se ha convertido en el gran negocio de la culpabilización que apunta al consumo excesivo responsable de la propagación del CO2. La maquinaria de propaganda hará todo lo posible para preparar el futuro de un gran empobrecimiento.

Para lograrlo, la FEM quiere desarrollar una política de “decrecimiento” y abogar por la abstinencia.

Los potentados del FEM están organizando una nueva cruzada contra "la tiranía del crecimiento" y por el pago de sus deudas, teniendo en la mira los ahorros de las clases medias, las únicas a las que aún pueden desplumar. La taxocracia está en marcha y debería suavizar las desigualdades mediante un mayor empobrecimiento combinado con un estilo de vida monástico. Una gran empresa ideológica que encubre la debacle de la economía mundial y pretende una pausa en el desarrollo económico, limitada a la simple reproducción.7


Al desencadenar un período de declive forzado, la pandemia ha provocado una El renovado interés por este movimiento que busca revertir el ritmo de crecimiento económico, llevó a más de 1.100 expertos de todo el mundo a publicar en mayo de 2020 un manifiesto proponiendo una estrategia de decrecimiento para enfrentar la crisis económica y humana provocada por el COVID-19. » (El Gran Reinicio, 1.2.2.3. Cómo podría ser el crecimiento futuro)


Para el WEF, “la opulencia es la mayor amenaza para nuestro planeta, según un informe científico”. Deberíamos hacer cambios drásticos en nuestro estilo de vida.

Ver texto y videos

Y para citar como ejemplo el estúpido activismo8 de los veganos

Vemos esto claramente en el activismo decrecentista liderado por los consumidores en ciertos segmentos nicho, como los llamados a reducir el consumo de carne o volar menos. » El Gran Reinicio

Según el Foro, los hábitos de consumo deberían orientarse hacia una "frugalidad innovadora", una "feliz sobriedad". Los gobiernos están haciendo todo lo posible para ahorrar energía, al tiempo que promueven el desarrollo del coche eléctrico y, por tanto, el aumento del precio de la energía eléctrica y el desarrollo de minirreactores nucleares SMR.

La ecología entra en juego para apoyar todos los escenarios de declive energético, no su precio. Siendo así, el capitalismo no puede permitirse el lujo de contentarse con la simple reproducción

para su supervivencia; debe imperativamente continuar su expansión a través de la reproducción ampliada.

Redistribución de la riqueza mediante impuestos a las clases medias.

Todos conocemos el sistema de “robar a Pedro para pagar a Pablo” destinado a mantener la paz social; hace unos años, el economista Thomas Piketty propuso un impuesto sobre el alquiler nocional de los propietarios de residencias principales. Ahora, después de haber eliminado el impuesto a la vivienda, el gobierno de Macron promueve el ficticio impuesto al alquiler (fuente: France Stratégie, un organismo supervisado por Matignon)

Gravar los ahorros de los hogares para pagar deudas

En 2013, la Sra. Lagarde, presidenta del FMI, propuso un impuesto del 10% sobre el ahorro de todos los hogares con ahorro neto positivo" para reducir la deuda de los Estados europeos. Esta medida se adoptó en Italia con una tasa del 0,6% y estuvo cerca de adoptarse en Chipre con un 9,9%. Esta misma señora Lagarde no ha dejado de decir que la deuda debida al Covid contraída por los Estados europeos, aunque haya sido producida por "la imprenta monetaria", "¡tendrá que ser reembolsada"!

 

procruste_77___Copiar

Si nos priva de bienes materiales, el nuevo mundo afortunadamente nos orienta, según la FEM, hacia las cosas esenciales, la empatía, la generosidad y el respeto a la Madre Planeta, la Pachamama.

Schwab afirma reducir las desigualdades de este mundo eliminando privilegios injustos de ciertos ciudadanos de ciertas naciones. El privilegio injusto es el que hace que una clase explote a otra; reducir esta contradicción fundamental a una cuestión de naciones ricas y pobres, el tema de conversación de todos los habitantes del tercer mundo, es ocultar el hecho de que en cada nación los empleadores explotan a sus súbditos.9

El WEF de Schwab pretende liquidar el neoliberalismo y abolir las fronteras para nivelar las desigualdades “Abrir las fronteras” (Open Boarders). Lo que no dice la FEM es que esta nivelación es la nivelación simbólica de Procusto.

Para el Foro del Sr. Schwab, las fronteras cerradas son una de las mayores barreras para la igualdad global. Schwab parece oponerse aquí al proteccionismo sin considerar que el retorno al proteccionismo nacional es sólo la consecuencia y el fracaso de la globalización del Capital, de su incapacidad para continuar la extracción de plusvalía, tanto absoluta como relativa. La acumulación de deuda global ha sustituido a la acumulación de plusvalía 10

Sostenemos que "el Estado keynesiano maduro después de 1945 aparece en el momento en que la composición orgánica del capital, a nivel global, es suficientemente alta como para que cualquier innovación tecnológica orientada al valor agregado relativo tienda a devaluar -transferir a la ficticia- más capital fijo del que produce valor agregado susceptible de ser transformado en ganancia, interés y renta de la tierra. "Este Estado tiene la función de organizar la devaluación permanente de la fuerza de trabajo a escala mundial, para impedir la devaluación del capital. (Nota sobre la transformación del Estado capitalista en la fase de plusvalía relativa de Loren Goldner)


Esto nos lleva a considerar que la teoría del colapso de Rosa Luxemburg se adelantó a las posibilidades todavía significativas del capital para llevar a cabo su expansión, que Pannekoek había percibido claramente en ese momento, a pesar de la crisis de 1929. Rosa Luxemburg cometió el mismo error que Marx y Engels. Si el déficit creciente de "plusvalía" estaba ya inscrito en el advenimiento de la maquinaria, es decir según Marx desde la crisis de 1825, había todavía un largo camino que recorrer desde la copa hasta los labios, logrando siempre el capital compensar la caída tendencial de la tasa de ganancia mediante su masa. Marx y Engels harán su autocrítica:

"La historia ha demostrado que nosotros y todos aquellos que pensaban igual estábamos equivocados. Esto demostró claramente que el estado de desarrollo económico del continente estaba entonces lejos de ser propicio para la supresión de la producción capitalista; Lo demostró con la revolución económica que desde 1848 conquistó todo el continente y que sólo entonces dio verdaderamente el derecho de ciudadanía a la gran industria... (Introducción de F. Engels a "Las luchas de clases en Francia".

Sólo después de la Segunda Guerra Mundial se produciría el golpe decisivo a la dominación real del Capital. Será consagrado por el abandono del patrón cambio oro que dio a los EE.UU. la autorización de imprimir dinero universal a voluntad. No es casualidad que se hable periódicamente de desafiar al dólar en favor de una canasta de monedas como el DEG. El sistema de flexibilización cuantitativa (QE) y deuda perpetua es sólo el resultado final.

continuación de esta loca carrera para mantener el capitalismo. La victoria de la dominación real del capital es al mismo tiempo su pérdida, es verdaderamente el fin de la historia de su historia. Semanas de 15 horas, renta básica y donuts. ¿Son éstas las grandes ideas que podrían acabar con la desigualdad? | Foro Económico Mundial (weforum.org)

La pospandemia ya hace balance de su economía

Los mayores beneficiarios de la "ganancia inesperada del covid-19" son los potentados de las grandes farmacéuticas y el "complejo digital-financiero", una concentración de las 11 mayores empresas digitales. El valor bursátil de estas cinco empresas representa la asombrosa suma de 9,1 billones de dólares estadounidenses. A modo de comparación, el producto interior bruto de Alemania, Francia e Italia en conjunto asciende a 8,6 billones de dólares estadounidenses. Todas estas empresas están vinculadas a poderes financieros como BlackRock, Statestreet, Vanguard y Fidelity, que tienen intereses en el ámbito digital. También en este caso el peso de estos fideicomisos supera el PIB de los 28 países de la UE, con un poder financiero de 22.600 millones de dólares estadounidenses, frente a los 15.700 millones de la UE. Pero como ya hemos señalado - La OST del siglo XXI y el asalariado Los alborotadores de Silicon Valley llamados GAFA son una fuerza de penetración no sólo financiera, tejen una auténtica red de araña sobre el mundo. Controlan miles de empresas que se han vuelto dependientes de la tecnología digital y están sujetas a una vigilancia constante de sus datos. Su enfoque es global y cada vez más esencial,







TBLX_GAFA_salarios_2_ Sin duda, son los sectores farmacéutico y digital los que se han beneficiado de la desgracia ajena. El gigante estadounidense Amazon, campeón del comercio online, vio su facturación despegar casi un 40% en 2020, alrededor de 387.000 millones de dólares. Nuevas fortunas han surgido gracias a los enormes beneficios de los grupos farmacéuticos. Al menos nueve capitalistas se han convertido en multimillonarios desde el inicio de la pandemia de Covid-19. Estos nueve multimillonarios han acumulado un patrimonio neto de 19.300 millones de dólares; Encabezando la lista están los directores ejecutivos de Moderna y BioNTech, Estas vacunas están financiadas con fondos públicos y sólo en apariencia son gratuitas. Según Oxfam, las compañías farmacéuticas están inflando artificialmente al menos cinco veces el coste de las vacunas mundiales contra el Covid-19, que se benefician de sus monopolios de vacunas. En Francia, la Seguridad Social se ha convertido en el sostén financiero de estos cárteles farmacéuticos. En 2020, registró un déficit histórico de 38.600 millones de euros, la mayor parte de los cuales se trasladaron al sector de la salud, mientras que el de las jubilaciones registró una pérdida tres veces inferior a la prevista. Nunca perdamos de vista que el déficit de la seguridad social se financia con la CRDS y la CSG (deducida de los salarios, pensiones, asignaciones) y que este déficit se convierte en un producto financiero gestionado por el CADES. Entonces no es gratis. https://youtu.be/cvoeQPjloPY Juegos y juguetes El fabricante danés de pequeños bloques Lego incluso tuvo un año récord en términos de beneficios (+19% hasta 1.300 millones de euros), mientras que sus ventas aumentaron un 13%. En el ámbito virtual, los videojuegos también tuvieron un próspero 2020, especialmente porque Sony y Microsoft lanzaron nuevas consolas justo antes de Navidad. La compañía japonesa vio aumentar sus ventas un 40% en el año, durante los últimos tres meses del año. El editor estadounidense Activision ("Call of Duty") superó las expectativas en el último trimestre y la francesa Ubisoft espera un ejercicio 2020/2021 récord (que termina a finales de marzo). Con más de 300 millones de copias vendidas en todo el mundo en 2019, todos los episodios combinados, es una de las series de videojuegos más vendidas de la historia. Perdedores en miles de millones de euros “Las grandes empresas se harán más grandes, mientras que las más pequeñas se reducirán o desaparecerán. » (Gran reinicio) Algunos ejemplos no limitativos: restricciones muy fuertes que pesaron sobre el turismo, las compañías aéreas vivieron un "annus horribilis": Air France sufrió un shock "sin precedentes" que le hizo perder 7.100 millones de euros, un poco más que su rival alemana Lufthansa (6.700 millones) o el grupo británico IAG, empresa matriz de British Airways (6.900 millones). En resumen. Queremos demostrar que la cuarta revolución industrial, unida a la "inteligencia artificial", confirmará, para citar a Marx, que "el hombre no es nada más, no es nada más que el cadáver del tiempo". Las fuerzas productivas en sentido humano han dejado de crecer para convertirse en fuerzas de destrucción de los seres humanos y de la naturaleza.12 Dos guerras mundiales y cientos de guerras localizadas han demostrado la violencia de la destrucción de la era capitalista. La predicción de Marx también está a punto de hacerse realidad y supondrá una amenaza global para la humanidad.

Era la necesidad de poner fin a este mundo de terrorismo de todo tipo. El Gran Reinicio no pretende ser una crítica al capitalismo, sino una admisión de sus límites: “el crecimiento ya no es posible”, “la tiranía del crecimiento”, la productividad, que hasta ahora ha salvado al Capital, se ha convertido, para el Foro, en un peligro para el Capital mismo. El Foro propone pues recuperar el control de la sociedad civil aboliendo cierta propiedad privada, la de las clases medias que se dan cuenta de que van a quedar atrás y denuncian al llamado Foro globalista como un complot destinado a instaurar el comunismo. G.Bad -finales de diciembre de 2021 siguiente texto El gran negocio de la ciudad ecológica sostenible del capitalismo ESG (Ambiental, Social y Gobernanza). 4ta parte NOTAS 1En particular, en “la industria automotriz y la atención médica, la colaboración entre humanos e IA, el desplazamiento económico y cómo la IA puede utilizarse para el bien social”. Satya Nadella dijo en una conferencia de prensa que los desarrolladores tienen la responsabilidad de prevenir un futuro distópico como 1984 de George Orwell o Un mundo feliz de Aldous Huxley. 2Una distopía es una historia ficticia que describe una sociedad imaginaria organizada de tal manera que es imposible escapar de ella y cuyos líderes pueden ejercer autoridad total, sin restricciones de separación de poderes, sobre ciudadanos que ya no pueden ejercer su libre albedrío. Wikipedia 3La Segunda Revolución Industrial es un periodo histórico comprendido entre la segunda mitad del siglo XIX y principios del siglo XX (1870-1910) durante el cual Europa, Estados Unidos y Japón experimentaron un importante desarrollo de la industria automovilística y química gracias al uso concentrado del petróleo y la electricidad. La Segunda Revolución Industrial se caracteriza por el fuerte desarrollo de la electricidad, el petróleo, la mecánica y la química. del motor de combustión interna que utiliza petróleo, de la industria química. 4 "Es precisamente esta última parte del instrumento, el órgano de operación manual, lo que la revolución industrial se apoderó en primer lugar, dejando al hombre, junto a la nueva tarea de controlar la máquina y corregir los errores de su mano, el papel puramente mecánico del motor" (Marx, El Capital, L.1, Pléiade, T.1, p.917). "La máquina, punto de partida de la revolución industrial, sustituye pues al obrero que maneja una herramienta por un mecanismo que opera al mismo tiempo con varias herramientas similares y recibe su impulso de una única fuerza, cualquiera que sea su forma. » (Marx, El Capital, L.1, Pléiade, T.1, p.919). 5La primera implantación de un chip se remonta a 2005. Amal Graafstra se implantó un chip RFID en la mano izquierda para acceder a su oficina, a su casa, abrir las puertas de su coche y conectarse a su ordenador. En 2013 creó la empresa Dangerous Things. 6 En un artículo del WEF sobre el creciente papel de las religiones, escrito por un emisario del Vaticano y el director de la Fundación Schwab para el Emprendimiento Social, aprendemos que con Covid “como está escrito en todos los textos sagrados, el mundo ha cosechado lo que ha sembrado”: ​​Cómo los líderes religiosos pueden ayudar a construir un mundo mejor pospandémico | Foro Económico Mundial (weforum.org) . Según la revista Forbes, sería necesario un confinamiento al estilo Covid cada dos años (¿por cuánto tiempo?) para alcanzar los objetivos de París. Informe: El mundo necesita un confinamiento equivalente a una pandemia cada dos años para cumplir los objetivos de emisiones de carbono de París (forbes.com) El octavo diputado europeo Yannick Jadot, cabeza de lista de Europa-Ecología-Los Verdes en las elecciones europeas, condenó "sin ambigüedades" los ataques a las carnicerías. Dijo que los activistas veganos que atacan a las carnicerías son "esencialmente imbéciles que están socavando la lucha muy legítima e importante contra el sufrimiento animal". 9 Véanse sobre este tema las críticas al concepto de aristocracia obrera. 10 El de las economías desarrolladas alcanzó el 122,7% del PIB. Los niveles oscilan entre el 254,1% en Japón, el 155,8% en Italia, el 133,9% en Estados Unidos, el 115,1% en Francia y el 69,1% en Alemania. Las economías emergentes también registraron un fuerte aumento, hasta el 64% contra el 54,7% en 2019, con, nuevamente, brechas significativas. La deuda de Brasil, con diferencia la más alta entre los grandes países emergentes, se acerca al 100%, con el 98,9%, a diferencia de la de Rusia, con el 19,3%. El año 2020 también vio un aumento del déficit público, hasta el 10,2% del PIB mundial, y se habla del 14% para 2021, 11Apple, Alphabet, la empresa matriz de Google, Amazon, Microsoft y Facebook 12 “Así, la producción basada en el capital crea, por una parte, industria universal, es decir, trabajo excedente al mismo tiempo que trabajo creador de valor; y, por otro lado, un sistema operativo general

auto_awesome

Essayez avec : des propriétés de la nature et de l'homme. » (Marx, Grundrisse2 .Chapitre du capital, éd. 10/18 p.214-215)

108 / 5 000

Propiedades de la naturaleza y del hombre. » (Marx, Grundrisse, capítulo 2 de El Capital, ed. 18/10, págs. 214-215)

Envoyer des commentaires


Les fauteurs de guerres -liens

  Les fauteurs de guerres Ukraine-Branle bas de combat au sein de l'UE A propos de la constitution d’une communauté autonome de la...