La sûreté est le plus haut concept social de la société bourgeoise, le concept de la police, c’ est l’idée que la société toute entière n’ existe que pour garantir à chacun de ses membre la conservation de sa personne, de ses droits et de la propriété » Marx La question juive.
Nous devons à Norbert Wiener années 1940 ce concept de cybernétique1. La cybernétique se présente comme un super ordinateur dont les caractéristiques sont le contrôle accru des populations sous l' angle du sécuritaire. Le premier essai d' une mise en place « d'une machine à gouverner » va se faire au Chili sous la république du Président Salvador Allende qui dés les années 1970, pensait pouvoir contrôler l'économie chilienne en temps réel avec le projet CyberSyn. Il confia à Fernando Flores le soin d' organiser ce projet économique pour remettre sur pied l' économie du pays. Pour y parvenir, F.Flores fera appel au cybernéticien anglais Stafford Beer . Ce contrôle se limitait à un réseau de télex qui reliait les entreprises à un ordinateur central situé à Santiago qui était contrôlé suivant les principes de la cybernétique. C 'est le coup d' état du général Pinochet qui finit par mettre fin au projet.
Il me faut souligner que c' est un certain Dominique Dubarle qui dés 1948 commença à sonner le tocsin contre une gouvernance mondiale s'appuyant sur la machine à gouverner.
Voir à ce sujet la lutte contre Enigma d'Alan Turing
. Avec le Grand Reset il ne fait plus de doute que la planète et ses habitants sont sous contrôle chaque jour un peu plus :
« D’une part, la tyrannie informatique s’étend à tous les domaines (école, hôpitaux, maisons de retraite, prisons, transports, etc). D’autre part, il ne s’agit plus seulement de contrôle et de surveillance, mais de contrainte : par le macro-pilotage social grâce aux RFID et à l’Internet des objets que relaie le micro-pilotage des individus. Où l’on voit que le « fascisme » de notre temps ne s’annonce plus par un claquement de bottes mais dans le ronronnement des « machines à gouverner ».(Snowden et la "machine à gouverner"! )2
La presse et les journalistes aux ordres, ne cessent de nous présenter la Chine populaire comme un pays sous contrôle permanent en temps réel de sa population : caméra partout, contrôle au faciès, puçage des individus....Par exemple
« A Chongqing, 2,6 millions de caméras surveillent un peu plus de 15 millions d’habitants. Avec une caméra pour six résidents, la métropole du sud-ouest de la Chine compte plus de caméras de surveillance que n’importe quelle autre ville au monde, “battant même Pékin, Shanghai et le pôle technologique de Shenzhen”, note The Guardian. Sur les dix villes championnes du monde de la vidéosurveillance, huit sont des villes chinoises, selon le classement publié par la société Camparitech. Mais Londres et Atlanta, aux États-Unis, figurent également dans ce top 10, suivis par Singapour, Abou Dhabi et Chicago. »
Seulement il suffit de chercher un peu sur le Net, pour se rendre compte que de nombreuses villes de part le monde sont déjà sous contrôle de « Big Brother »3 à ce niveau pas de frontières. Bien entendu les réactions ne manquent pas, sabotages et cyberattaques se multiplient.
Quelques 300 caméras de surveillance sabotées à Londres
Royaume-Uni : des centaines de caméras sabotées à …
Cet intérêt du capital pour les technologies de l' information et de la communication vise le 'sécuritaire » c'est à dire le contrôle systématique des populations devenues surnuméraires au regard de la gouvernance mondiale. Sur le sujet, dans les années 60-70 Zbigniew Brzezinski, conseiller à la sécurité nationale de Jimmy Carter de 1977 à 1981. Prévoyait une révolution technétronique accouplée aux banques internationales et les corporations multinationales, et prophétisait une ère technétronique qui « implique l’apparition progressive d’une société plus contrôlée. Une telle société serait dominée par une élite, débarrassée des valeurs traditionnelles. Bientôt, il sera possible d’assurer une surveillance presque continue de chaque citoyen et de maintenir des fichiers complets à jour contenant même les informations les plus personnelles sur le citoyen. Ces fichiers feront l’objet d’une récupération instantanée par les autorités ».
Les prévisions de Zbigniew Brzezinski, seront bientôt une réalité pour tous, les exemples de contrôle des populations ne manquent pas et nous sommes à la veille du totalitarisme réalisé sur la planète.
Les cyberattaques bête noire des états.
Depuis le début de l’année 2024, l'état français fait le constat que :
«la France essuie une vague de cyberattaques sans précédent. Des entités gouvernementales, comme France Travail ou la Caisse d’Allocations familiales, ou des acteurs privés, tels que LDLC, Zadig et Voltaire ou le Slip Français, ont été visés par des pirates. La liste des victimes ne cesse de s’allonger… tout comme la quantité de données personnelles divulguées en ligne.
D’après une étude récente de Surfshark, plus de 12,8 millions de comptes appartenant à des Français ont été d’ailleurs compromis depuis le début de l’année 2024. La situation s’est accélérée au second trimestre, avec sept millions de comptes violés, une hausse de 21 % par rapport aux trois premiers mois de l’année. En puisant sur des plateformes criminelles, les pirates peuvent donc dénicher une montagne de précieuses données pour fomenter des cyberattaques contre les Français. C’est le terrain idéal pour que le nombre de cyberattaques grimpe en flèche… »
L’Agence de l’Union européenne pour la cybersécurité (ENISA, identifie 9 menaces principales :
les logiciels rançonneurs, ou “ransomware”, consistent à attaquer un système informatique et à demander une rançon pour en rétablir le bon fonctionnement,
les logiciels malveillants, afin d’endommager ou d’accéder à un appareil sans autorisation,
le minage clandestin, qui infiltre un ordinateur ou un téléphone afin de produire de la cryptomonnaie à l’insu du propriétaire de l’appareil,
les attaques par e-mail, avec les spams ou l’hameçonnage,
les menaces sur les données, surtout concernant le vol et la divulgation d’informations personnelles,
les attaques par déni de service, qui empêchent les internautes d’accéder à un réseau ou à un système, en bombardant par exemple un serveur web de sollicitations,
la désinformation,
les attaques sur la chaîne d’approvisionnement, c’est-à-dire ciblées sur un fournisseur de logiciels pour infester d’autres entités,
les incidents qui ne proviennent pas d’intentions malveillantes, liés à l’erreur humaine ou à de mauvaises configurations informatiques.
« Si tout internaute peut être la cible de ces menaces, les entreprises sont aussi concernées par des actes de malveillance, et pas seulement les plus grandes d’entre elles. Selon un Eurobaromètre, 28 % des PME européennes ont connu une cyberattaque en 2021. Un chiffre qui grimpe jusqu’à 41 % en Grèce et 48 % au Portugal. Les petites et moyennes entreprises sont particulièrement touchées par les virus informatiques et les logiciels espions ou malveillants. “Moins armées que les grandes entreprises face à cette menace, elles constituent des cibles privilégiées pour les acteurs malveillants”, explique la CNIL dans un rapport.
De nombreuses administrations sont également la cible de cyberattaques. La mairie de Saint-Cloud, dans les Hauts-de-Seine, a par exemple subi récemment une paralysie de ses systèmes informatiques, avec une demande de rançon de la part de ces malfaiteurs des temps modernes. «
Il existe même un logiciel malveillant du nom de rançongiciel ou ransonware, qui bloque l' accès à l'ordinateur ou ses fichiers et réclame à ses victimes une rançon pour libérer l’accès. 4
A ce niveau nous avons démontré que les GAFAM étaient des rançonneurs à l' échelle mondiale
« Il y a un rapport fort intéressant4 qui parle de la tertiairisation de l'industrie, du fait justement que ces nouveaux donneurs d' ordre des services prennent le contrôle de la gestion des secteurs productifs et se comportent comme le capital usuraire en captant de la rente énorme pour un capital constant dérisoire, tout en s' appuyant sur ce qui s' appelle l' économie collaborative.
« Si les Gafa peuvent fournir du service universel, elles prélèvent des rentes massives et sans impôts. C’est un vrai problème pour l’ensemble des États où elles développent leurs activités. » (Les nouveaux rapports industrie/services à l’ère du numérique P,26)
Nous verrons plus loin comment Thierry Breton cherche à résoudre ce problème.
Le nouveau marché de l’analyse prédictive
Les réactions des gouvernements ne vont pas se faire attendre : L' analyse prédictive est devenue l' espoir sécuritaire des états et gouvernements et une source financière pour les leaders de ce nouveau marché.
« Ainsi, la start-up israélienne CyActive, créée en 2013, s’est positionnée sur ce domaine avec une technologie censée prédire les futures attaques de malwares grâce à des algorithmes permettant d'analyser et de comprendre les processus de développement de ces logiciels malveillants. L’entreprise israélienne Salespredict4 s’est par exemple donnée pour objectif d’augmenter les ventes de ses clients en s’appuyant sur le big-data et l’analyse prédictive afin d’aider les entreprises à améliorer leur taux de conversion. Sa co-fondatrice, Kira Radinsky, explique que ses prédictions se vérifient avec une probabilité située entre 70 % et 90 %5. « ( (observatoire du monde cybernétique lettre N °47) Observatoire du Monde Cybernétique - Ministère des Armées
Mais encore :
« En 2014, les 5 malwares les plus réutilisés ont ainsi été : Snake, Black POS, Gyges, Dragonfly et Zberp. A noter que CyActive a été rachetée en mars 2015 par la société Paypal pour 60 millions de dollars D’autres technologies d’analyses prédictives apparaissent enfin en matière de gestion et d’analyse des événements sécurité (SIEM). Le big-data et les algorithmes sophistiqués ont permis d’approcher de prédictions de plus en plus correctes et d’identifier les menaces émergentes en analysant des « patterns » d’attaques lors d’analyse en temps réel des journaux d’événements et du réseau par exemple. « De nombreuses sociétés émergent sur ce sujet comme SAS (SAS® Cybersecurity8), Rapid7 ou bien encore IBM »Observatoire du Monde Cybernétique - Ministère des Armées
La lutte entre les blocs pour le contrôle de la machine à gouverner
Nous avons assister en 2019 à une première confrontation entre Google et l’entreprise chinoise Huawei, et plus généralement, entre les États-Unis et la Chine, qui semblent être officiellement entrés dans une guerre commerciale de grande ampleur. Google, est le fournisseur du système d'exploitation mobile Android, à ce niveau il a pratiquement le monopole sur la plupart des téléphones mobiles. A l'époque (2019) sous la présidence de Trump Huawei deuxième fabricant mondial de smartphones, sera mis sur une liste noire pour espionnage.
La gigantesque société américaine Google a fait une annonce choc dimanche 19 mai 2019, en expliquant qu'elle ne fournirait plus de logiciels, de matériel informatique et de services techniques à la société chinoise Huawei Technologies. Un porte-parole de Google a annoncé dans la foulée, sans entrer dans les détails, que l'entreprise "se conformait à l'ordre et examinait les conséquences". Cette annonce surprise fait suite à la décision, mercredi 15 mai 2019, du président américain Donald Trump, d'interdire aux groupes américains de télécoms de commercer avec certaines sociétés étrangères. En plein bras de fer commercial avec la Chine, Huawei Technologies ainsi que certaines de ses filiales ont été jugées "à risque" pour la sécurité nationale et placées sur une liste noire. En effet, deuxième fabricant mondial de smartphones, Huawei est présent dans 170 pays et soupçonné d'espionnage au profit de Pékin, qui aurait largement contribué à son irrésistible expansion internationale.
Cet événement est à rapprocher de ce qui se passe actuellement dans UE avec ce que nous pouvons appeler l' affaire Thierry Breton.
L' affaire Thierry Breton
Nous venons d'apprendre le 16 septembre 2024, la démission de Thierry Breton5 de la commission européenne suite à un conflit avec Ursula Von der Leyen.
En effet Thierry Breton est parfaitement conscient du rôle dominant des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) 6 dans le monde et comptait bien faire surgir au niveau européen non seulement un concurrent au Gafam mais aussi une réglementation du numérique.
«Thierry Breton, connu pour ses positions fermes contre les GAFAM, semble avoir été jugé trop tranché. Son départ soulève également des questions sur l’équilibre des portefeuilles au sein de la Commission. Celle-ci qui, à contresens des exigences de Von Der Leyen, ne sera pas paritaire. D’autant plus qu’Emanuel Macron a suggéré son ministre démissionnaire des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné » Radio France
Cependant :
« Une série de mesures est ainsi en gestation, avec l'ambition de repenser la réglementation. Un accord sur le Digital Markets Act (DMA)7, qui cherche à encadrer le marché du numérique et à limiter les monopoles en imposant des obligations telles que l'interopérabilité des messageries instantanées, vient d'être conclu à Bruxelles. Il s'accompagne du Digital Services Act (DSA), qui encadre les contenus sur Internet, notamment par la lutte contre la fraude et les contenus illégaux en ligne, tandis que le Data Governance Act (DGA) s'attaque à la gouvernance des données.
Lire aussi Digital Markets Act (2/2) : les empires des géants du Net enfin sous pression ?
Contrôler l'espace informationnel en légiférant sur les services numériques
Dans un interview à radio France Thierry Breton explique tout l' enjeu pour le capital européen de ne pas dépendre des mastodontes américains et chinois.
"J'ai personnellement réunie l'ensemble du corps judiciaire européen pour commencer à leur expliquer, à les sensibiliser, à les former à tout cela. C'est tout à fait inédit : nous sommes la première démocratie au monde à posséder des règles dans cet espace-là."
L'Union européenne a également "accès aux données", poursuit Thierry Breton.
"Nous sommes là encore les premiers à avoir imposé l'obligation d'ouverture de leurs données à l'ensemble des centres de recherche. C'est quelque chose qui existe en Europe et non aux Etats-Unis. Je vais vous citer une anecdote : tous les trimestres ont lieu des réunions avec les Américains appelées ça TTC (Trade and Tech Council). Pendant deux jours, nous nous réunissons avec le secrétaire d'état Anthony Blinken et trois ministres américains pour parler de différents sujets. Évidemment, le règlement du numérique est très important. Lors de la dernière réunion, à Bruxelles, nous avons fait venir des chercheurs américains, parce que c'est en Europe qu'ils avaient accès aux données et non aux Etats-Unis."Radio France
Pour parvenir à s'imposer face aux américains sur des domaines dits sensibles comme la constitution d'une armée européenne et une autonomie numérique , la partie est mal engagée pour l' Union Européenne. En effet la principale multinationale Atos est en grande difficultés, voir en quasi faillite.
Rachat des activités sensibles d'Atos par l’État
La France a récemment proposé une offre de 700 millions d'euros afin de racheter les activités du géant de l'informatique Atos8 et éviter qu'elles ne tombent entre les mains d'acteurs étrangers.
"Il me semble qu'il est très important d'avoir en Europe des acteurs européens, de taille européenne et donc de taille mondiale, qui puissent gérer, contrôler, traiter l'ensemble des données des entreprises européennes, souligne Thierry Breton. J'ai constaté que ceux qui maîtrisaient, traitaient ces données, s'octroyaient bien souvent des avantages extraterritoriaux. Je pense en particulier aux Etats-Unis, et à la loi qui a suivi le Patriot Act, permettant aux juges américains, sur simple injonction, d'accéder à des données sans que les utilisateurs ne le sachent." L'objectif d'Atos est donc de "gérer les données de nos entreprises et de nos concitoyens selon nos règles."
"Bien sûr, admet l'ancien PDG de l'entreprise (2008-2019), la gestion des données est peut-être moins excitante que la conception de grands applicatifs nouveaux, mais c'est fondamental" : un travail de "soutiers". Si l'Etat a fait le choix d'acquérir Atos, c'est "pour pouvoir traiter les données des entreprises européennes de bout en bout. [...] Lorsque je l'ai quitté, Atos était le numéro un des supercalculateurs et de la cybersécurité en Europe". En effet, "traiter les données des entreprises européennes c'est aussi les protéger. Atos est devenu donc le premier acteur européen, et troisième acteur mondial en matière de gestion de services de cybersécurité. Premier aussi sur les les serveurs, qui permettent de faire fonctionner les plateformes." Ainsi, le choix du conseil d'administration d'Atos d'entretenir des négociations avec David Layani plutôt que Daniel Kretinsky semble mieux respecter, selon Thierry Breton, "l'intégrité du groupe, importante pour l'Europe."Radio France
Voila résumé l' enjeu final pour le capitalisme européen, et de la gouvernance mondiale
En résumé
Nous avons démontré qu'avec la cybernétique, nous n' étions qu' à la préhistoire de l' informatisation du monde capitaliste. Nous avons pu nous rendre compte comment l'informatisation de la société s'est faite sur une longue période, pour aboutir à un saut qualitatif dit quatriéme révolution industrielle. Cette révolution a comme caractéristique de remettre en cause la structuration même du capitalisme industriel et financier en le médiatisant, d'imposer un hyper contrôle des populations pour les « sécuriser » en réalite les rendre complètement dépendant de la numérisation mondiale,la technétronique de Bresynsky réalisée et ses aliénations.
De remettre cause le salariat lui même et tout le l' état providence,
Nous voyons que la « silicolonisation de la planète est en marche » comme une force de destruction/créatrice, qui sous des aspects « humanitaires » se présente au niveau politique comme une superstructure étatique mondiale, un trou noir absorbant et réifiant des pans entiers de l' économie mondiale. Avec les affaires Huawei et Thierry Breton nous avons fait ressortir le niveau des contradictions Chine/USA et Europe/USA pour le contrôle et la régulation du Jack pot mondial.
Sur le plan de la militarisation du monde, les nouvelles technologies sont elles aussi décisives, nous amenant aux portes d'une conflagration mondiale titanesque.
G.Bad le 2024
https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/la-politique-numerique-de-l-union-europeenne/
1 La première traduction française de l’ouvrage classique de Norbert Wiener, Cybernetics, paru en 1948, présente les principaux concepts et méthodes scientifiques apparus pendant et après la Seconde Guerre mondiale, liant les domaines alors naissants de l’automatique, de l’électronique et de l’informatique à des problématiques propres au fonctionnement des êtres vivants. Wiener entrevoit une unité dans l’ensemble de ces recherches, qu’il propose de rassembler sous le nom de « cybernétique ».
3Voir: https://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Brother
4-Le Département américain du Trésor estime qu'en 2005 les diverses formes du cybercrime ont généré plus de 100 milliards de dollars de "chiffre d'affaires", soit davantage que la vente de drogues.
5-Thierry Breton homme est avant tout un redresseur d' entreprises en difficultés et un agent du déploiement du numérique mad ind europe. Il a été fortement impliqué dans les 270 000 licenciements de France Telecom et les suicides qui en découlerons.
6Voir sur le sujet Les GAFA et la loi de la valeur
7 le "Digital Services Act" et le "Digital Markets Acts", un "package" de deux grands règlements visant à moderniser la régulation d'Internet. Le deuxième texte, intitulé "Digital Markets Act", doit encadrer les activités des "plateformes structurantes" (autrement dit, les Gafa et quelques autres), permettre à des acteurs alternatifs d'émerger et empêcher les abus de position dominante. Le Digital Services Act (DSA) est un règlement européen dont le but est de diminuer la diffusion de contenus illégaux et d'instaurer plus de transparence entre les plateformes en ligne et leurs utilisateurs. En vigueur depuis le 25 août 2023, il s'applique à l'ensemble des plateformes dès le 17 février 2024.
8-Atos est une entreprise de services du numérique (ESN) française, créée en 1997. Elle fait partie des dix plus grandes ESN au niveau mondial5, qui produit un chiffre d'affaires annuel de près de 11 milliards d'euros en 2019 et compte environ 110 000 employés6 répartis dans 73 pays. Le groupe, leader européen du cloud, de la cybersécurité et du supercalcul depuis son rachat de Bull7, est au CAC 408 durant quatre ans de mars 2017 à septembre 2021. (wikipedia)
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