Voici un texte qui avant l' heure anticipait l' arrivée du Grand Reset de la dite quatrième révolution industrielle. Comme vous pourrez vous en rendre compte c' est un certain Dominique Dubarle qui dés 1948 commença à sonner le tocsin contre une gouvernance mondiale s'appuyant sur la machine à gouverner. Une mini tentative de l' utilisation de la Cybernétique fut expérimenté au Chili sous le gouvernement Allende « Le project Cybersyn ou en espagnol, proyecto Synco1 a été un projet chilien visant à créer une économie planifiée contrôlée par un système temps réel durant les années 1970–1973 (sous le gouvernement du président Salvador Allende). Il s'agissait essentiellement d'un réseau de télex qui reliait les entreprises à un ordinateur central situé à Santiago qui était contrôlé suivant les principes de la cybernétique. Le principal architecte de ce système était le scientifique britannique Anthony Stafford Beer2. Sources Wikipédia.
C 'est le coup d' état de Pinochet qui finit par mettre fin au projet. Avec le Grand Reset il ne fait plus de doute que la planète et ses habitants est sous contrôle chaque jour un peu plus,et se projette même dans l'espace.
G.Bad
Additif : du 19 juillet 2024-Panne informatique mondiale : compagnie, banques, télévisions,ferroviaire,hopitaux… impactés, par la "mise à jour défectueuse" de CrowdStrike ?
Certaines compagnies aériennes singapouriennes et malaisiennes sont touchées par une panne informatique, ont annoncé les opérateurs et exploitants des aéroports, alors que des problèmes techniques sont signalés par des opérateurs aériens dans le monde entier. Mais ce ne sont pas les seules. Des compagnies hongkongaises comme Cathay Pacific et sa filiale HK Express, le transporteur néerlandais Tranasvia, le français Air France ou l’indien IndiGo se sont retrouvés sans visibilité, étant obligés de rédiger à la main, des billets d’avion par exemple. De nombreux aéroports sont aussi affectés par la panne, notamment ceux de Zurich, Berlin, d’Amsterdam-Schipol et tous ceux d’Espagne.
Des trains bloqués
Le plus important opérateur ferroviaire britannique a, lui, évoqué de "potentielles annulations de dernière minute", les compagnies ne pouvant accéder à certains systèmes concernant les conducteurs. "D’autres systèmes clés, notamment nos plateformes d’information des clients en temps réel, sont également affectés", poursuit le message, incitant les passagers à se renseigner avant leur trajet. Le système de réservation de la SNCB – la compagnie ferroviaire belge – a été affecté, empêchant notamment les voyageurs d’acheter des billets en ligne. "Les données relatives aux retards des trains et aux changements de voies peuvent également ne pas être mises à jour", explique Le Soir.
La Bourse dans le rouge
Les Bourses mondiales ont reculé, inquiètes à cause de cette panne qui a également empêché les indices des Bourses de Londres et Milan d’afficher leur taux de variation à leur heure habituelle d’ouverture. Elles ont finalement commencé à coter avec une vingtaine de minutes de retard. Dans les échanges électroniques précédant l’ouverture de la Bourse de New York, l’action du groupe CrowdStrike a chuté de plus de 15 %. Les titres de Microsoft perdaient quant à eux environ 1,5 % vers 11 heures GMT. CrowdStrike s’appuie beaucoup sur l’intelligence artificielle (IA) et l’apprentissage automatique (machine learning) et propose notamment une plateforme de protection numérique nommée Falcon.
Sa capitalisation boursière, qui correspond au montant total de ses actions disponibles sur les marchés boursiers, s’élève à 83 milliards de dollars.
Des opérations chirurgicales reportées
Plusieurs hôpitaux aux Pays-Bas ont indiqué être touchés par la panne, entraînant la fermeture d’un service d’urgences et le report d’opérations.
Services de diffusion
Aux Pays-Bas, le groupe de radio et télévision Talpa a également été affecté et a commencé à inventorier l’impact" de la panne sur ses services. Une panne également déplorée des entreprises australiennes telles que la TV ABC ou Sky News qui ont affirmé tôt vendredi, subir une "grosse" panne.
Les Jeux olympiques ont été affectées
Dernier exemple en date : les opérations informatiques des organisateurs des Jeux olympiques ont été affectées, a indiqué vendredi le comité d’organisation de Paris-2024 : "Des problèmes perturbent les opérations informatiques de Paris 2024", à une semaine de la cérémonie d’ouverture des Jeux.
Le 4e Reich sera cybernétique
samedi 21 septembre 2013 par Pièces et main d’œuvre
65 ans séparent les deux articles publiés
ci-dessous.
Le premier décrit 65 ans à l’avance le monde du
second, notre monde.
Le second ratifie cette description et décrit
le monde à venir ; notre monde imminent.
Le premier, intitulé "Vers la machine à gouverner" fut publié dans Le Monde du 28 décembre 1948 par Dominique Dubarle, physicien, dominicain et chroniqueur scientifique du quotidien. Il s’agit d’une recension du livre de Norbert Wiener « Cybernetics or control and communication in the animal and the machine » (Editions Hermann). « Cybernétique » est le mot forgé par Norbert Wiener, à partir du grec « kubernêtikê » (pilote) pour désigner la « science de la commande et de la transmission des messages chez les hommes et les machines. » C’est-à-dire la « science du gouvernement », puisqu’à travers le gouvernail et les commandes, ce sont des ordres qui sont communiqués au navire, aux marins, à l’Etat, aux gouvernés. En un temps où « les grandes machines mathématiques » couvrent encore « des surfaces de plus de cent mètres carrés », Dubarle prévoit « la machine à gouverner » de l’Etat mondial (« d’un gouvernement unique de la planète »). « Une des perspectives les plus fascinantes ainsi ouvertes est celle de la conduite rationnelle des processus humains, de ceux en particulier qui intéressent les collectivités et semblent présenter quelque régularité statistique, tels les phénomènes économiques ou les évolutions de l’opinion. »
En effet, une machine capable de collecter et de traiter toutes les données, ou peu s’en faut, réduit toute question politique à une question technique. Or techniquement, et suivant les données disponibles, il n’y a jamais qu’une seule meilleure solution à la fois.
Si une telle machine rationnelle existait, il faudrait
donc, d’un point de vue technique, lui remettre le gouvernement des
hommes et de l’Etat mondial.
Cette machine existe. IBM l’a
construite sous le nom de « Planète intelligente », et
Le Monde en fait la publicité, en partenariat sur son site
lemonde.fr. Le Monde qui publie un article « antifasciste »
par jour, comme sous Mitterrand et aux mêmes fins de manipulation
(rappelez-vous, SOS Racisme, ou "l’affaire de Carpentras").
Ainsi, d’« informatisation de la société » (rapport
Nora, Minc, 1977), en PC (personnal computers), d’Internet
en e-administration, e-gouvernement, école numérique, etc., en
sommes-nous venus à ce que Dubarle nommait « la
manipulation mécanique des réactions humaines » qu’il
comparait au « Meilleur des mondes ». La dystopie
la plus connue alors, mais il aurait mieux valu citer « Nous
autres » (1920) de Zamiatine, et son monde des « numéros ».
Nous avons reçu le deuxième article de Philippe Godard, auteur critique de la société industrielle et contributeur du site contrebande.org. Intitulé « Echapper au "nouvel âge digital" ? » et publié le 10 juin 2013, il s’agit également de la recension d’un livre , également américain , « The New Digital Age. Reshaping the Future of People, Nations and Business » (« Le Nouvel Âge digital. Refaçonner le futur des peuples, des nations et des affaires ») Il faut prendre les auteurs au sérieux. Eric Schmidt, PDG de Google, et Jared Cohen, directeur de Google Ideas, sont des technarques. D’éminents représentants de cette technocratie qui gouverne notre présent et planifie notre avenir. C’est-à-dire qu’ils ont les moyens de réaliser leurs plans. Google, vous savez, l’entreprise partenaire de l’Etat américain et de la NSA (National Security Agency) dans le programme Prism d’espionnage universel. La machine à gouverner qui sait tout de nous, qui investit d’énormes capitaux dans la mise au point de « l’homme augmenté », du cyborg, du surhomme électronique cher à Politis (cf Politis et le transhumanisme : une autre réification est possible) et aux cyberféministes.
Sans paraphraser l’article de Godard, sachez que ces plans concernent au premier chef la police des populations - ordre et gestion (cf Terreur et possession. Enquête sur la police des populations à l’ère technologique), la prévention des dissidences et insurrections.
« Le danger est identifié : l’individu qui se cache. Et la sentence tombe : - "No hidden people allowed". "Interdit aux personnes cachées" (…) Les gouvernements doivent décider, par exemple, qu’il est trop risqué que des citoyens restent « hors ligne », détachés de l’écosystème technologique. Dans le futur comme aujourd’hui, nous pouvons être certains que des individus refuseront d’adopter et d’utiliser la technologie, et ne voudront rien avoir à faire avec des profils virtuels, des bases de données en ligne ou des smartphones. Un gouvernement devra considérer qu’une personne qui n’adhèrera pas du tout à ces technologies a quelque chose à cacher et compte probablement enfreindre la loi, et ce gouvernement devra établir une liste de ces personnes cachées, comme mesure antiterroriste. »
Aussi bizarre que cela paraisse, nous soutenons que nous sommes en 2013 et non pas en 1933. Que notre ennemi n’est pas le NSDAP mais la NSA et la DGSE.
Que le « fascisme » de 2013, en dépit de quelques résidus folkloriques, ne se présente pas sous les aspects d’un parti de masse et de sections d’assaut fanatisées par un chef charismatique, mais sous ceux d’un système technologique – efficace et fonctionnel - auquel par veulerie, inconscience et futilité, nous cédons nos moindres parcelles d’existence.
Que tous les partis - mais d’abord la gauche techno-progressiste - au nom de la rationalité, des gains de productivité et des points de croissance, collaborent à sa mise en place.
Et que si nous voulions résister au fascisme contemporain, il faudrait continuer ce que le Clodo (Comité pour la liquidation des ordinateurs) avait si bien commencé, à Toulouse, dans les années 70, en détruisant les « machines à gouverner ». (cf. Les Luddites en France. Résistance à l’industrialisation et à l’informatisation. Editions L’Echappée, 2010)
Pour lire Vers la machine à gouverner" et "Echapper au "nouvel âge digital" ?", cliquer sur les icônes ci-dessous.Le 4e Vers la machine à gouverner Echapper au nouvel âge Reich sera cybernétique
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